C'est ainsi que se justifie la perte de confiance en l'Etat. Depuis plus d'une année, les réunions gouvernement-walis reviennent sur le même discours sans pour autant donner de nouvelles sur le terrain : "Faciliter l'investissement, développement économique en s'appuyant sur les potentialités dont disposent les différentes régions" sont toutefois les mêmes points des ordres des jours théorisés dans les dites réunions.
Et c'est d'ailleurs le cas de la précédentes rencontre ayant réunis les walis desWilayas du centre avec le ministre de l'Intérieur, Nouredine Bedoui, qui court dans tous les sens pour essayer d'éviter le naufrage du pays, devant la crise financière qui menace férocement les réserves de changes s'épuisant quant à elles d'une vitesse inestimable cette année.
En effet, le ministre de l'Intérieur a convoqué les walis du centre dans le but de leur communiquer et rappeler l'urgence de concrétiser le plan économique de cette année, avant qu'il soit trop tard. Avec un minime espoir gardé depuis la progression de la crise financière, "toutes les initiatives sont donc bonnes si elles permettent de contribuer un tant soit peu à réduire l’impact de l’amenuisement progressif mais inéluctable des réserves de change de l’État" commente le quotidien Liberté dans son édition du jour. Elles sont bonnes, évidemment, si la volonté de les concrétiser se voit du jour au lendemain !
Le ministre a tenu a rappeler aux walis que l'inévitable crise inespérée ne sera évitée si le train de vie de l'Etat, à l'échelle locale, ne soit remis sur les rails. Ceci dit que si les walis et leurs administrations respectives ne changent pas de politique envers le citoyen, en garantissant à ce dernier toutes les conditions nécessaire pour la réussite du plan économique, et en s'accoutumant aux besoins que demandent les investisseurs, le semblant d'effort textualisé sur le papier, uniquement, par la tutelle se verra évaporé, et ne résidera que dans la théorie, comme le sort des efforts fournis durant des années. En deçà de cette fuite en avant, la démagogie ne servira plus à rien lorsque le navire n'aura plus d'issue sauf celle de se noyer. Finalement, l'on ne retiendra que la sueur des démagogues, qui ne sont bon qu'à fuir en avant... par excellence !
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Et c'est d'ailleurs le cas de la précédentes rencontre ayant réunis les walis desWilayas du centre avec le ministre de l'Intérieur, Nouredine Bedoui, qui court dans tous les sens pour essayer d'éviter le naufrage du pays, devant la crise financière qui menace férocement les réserves de changes s'épuisant quant à elles d'une vitesse inestimable cette année.
En effet, le ministre de l'Intérieur a convoqué les walis du centre dans le but de leur communiquer et rappeler l'urgence de concrétiser le plan économique de cette année, avant qu'il soit trop tard. Avec un minime espoir gardé depuis la progression de la crise financière, "toutes les initiatives sont donc bonnes si elles permettent de contribuer un tant soit peu à réduire l’impact de l’amenuisement progressif mais inéluctable des réserves de change de l’État" commente le quotidien Liberté dans son édition du jour. Elles sont bonnes, évidemment, si la volonté de les concrétiser se voit du jour au lendemain !
Le ministre a tenu a rappeler aux walis que l'inévitable crise inespérée ne sera évitée si le train de vie de l'Etat, à l'échelle locale, ne soit remis sur les rails. Ceci dit que si les walis et leurs administrations respectives ne changent pas de politique envers le citoyen, en garantissant à ce dernier toutes les conditions nécessaire pour la réussite du plan économique, et en s'accoutumant aux besoins que demandent les investisseurs, le semblant d'effort textualisé sur le papier, uniquement, par la tutelle se verra évaporé, et ne résidera que dans la théorie, comme le sort des efforts fournis durant des années. En deçà de cette fuite en avant, la démagogie ne servira plus à rien lorsque le navire n'aura plus d'issue sauf celle de se noyer. Finalement, l'on ne retiendra que la sueur des démagogues, qui ne sont bon qu'à fuir en avant... par excellence !
Massi Hamadene.
