Issad Rebrab, aujourd'hui investisseur privé algérien et capitaine notoire d'une grande industrie en Algérie comme à l'étranger, serait déjà cité dans l'un des scandales de Panama Papers nous apprend le journal français Le Monde.
En effet, le patron de Cevital ferait partie des plus anciens clients du cabinet d'avocats panaméen Mossack Fonseca, principale mis en cause dans le scandale des Panama Papers. « En juin 1992, relate notre source, alors que le pays s’enfonçait dans la tourmente de la « décennie noire » entre l’Etat et les terroristes djihadistes, Issad Rebrab, importateur du rond à béton à l’époque, a recouru au service de Mossack Fonseca pour créer une société offshore, Dicoma Entreprises Ltd». Le même quotidien précise que cette société, domiciliée aux îles Vierges britanniques, « était destinée à gérer un portefeuille placé chez l’Union de banques suisses (UBS) à Genève».
Sauf qu'à l'information du quotidien allemand, Süddeutsche Zeitung en l'occurrence, Issad Rebrab aurait capitalisé dans cette société une somme de 50 000 dollars uniquement, comparé aux autres scandales suscités auparavant qui impliquent des personnalités notoires de la scène politique algérienne. En 1996, ladite société a été probablement dissoute à la demande de son ayant droit, Issad Rebrab selon le même quotidien, sauf que « le cabinet panaméen a transféré les activités – en particulier la gestion du compte à l’UBS – de la société dissoute à une autre structure offshore, Anilson Management Ltd., domiciliée dans un autre paradis fiscal, l’île de Niue, dans le Pacifique Sud » affirme Le Monde.
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En effet, le patron de Cevital ferait partie des plus anciens clients du cabinet d'avocats panaméen Mossack Fonseca, principale mis en cause dans le scandale des Panama Papers. « En juin 1992, relate notre source, alors que le pays s’enfonçait dans la tourmente de la « décennie noire » entre l’Etat et les terroristes djihadistes, Issad Rebrab, importateur du rond à béton à l’époque, a recouru au service de Mossack Fonseca pour créer une société offshore, Dicoma Entreprises Ltd». Le même quotidien précise que cette société, domiciliée aux îles Vierges britanniques, « était destinée à gérer un portefeuille placé chez l’Union de banques suisses (UBS) à Genève».
Sauf qu'à l'information du quotidien allemand, Süddeutsche Zeitung en l'occurrence, Issad Rebrab aurait capitalisé dans cette société une somme de 50 000 dollars uniquement, comparé aux autres scandales suscités auparavant qui impliquent des personnalités notoires de la scène politique algérienne. En 1996, ladite société a été probablement dissoute à la demande de son ayant droit, Issad Rebrab selon le même quotidien, sauf que « le cabinet panaméen a transféré les activités – en particulier la gestion du compte à l’UBS – de la société dissoute à une autre structure offshore, Anilson Management Ltd., domiciliée dans un autre paradis fiscal, l’île de Niue, dans le Pacifique Sud » affirme Le Monde.
Contacté par les soins de la rédaction de Le Monde, Issad Rebrab a personnellement rejeté tout commentaire concernant cette affaire, et a chargé sa chargée de la communication, Soraya Djermoun, qui a nié, à son tour, toute existence d'une telle société appartenant à Issad Rebrab. « M. Rebrab vous dit qu’il n’a jamais eu de société aux îles Vierges britanniques » précise-t-elle au quotidien français.
