Issad Rebrab accusé par le secrétaire général du Front de Libération Nationale (FLN) de vouloir monopolisé les médias pour préparer les élections présidentielles de 2019 sous instigation de l'ex-patron du Département des renseignements et de la Sécurité (DRS), a accordé une interview à la chaîne d'actualité internationale France24 où il est revenu sur l'affaire "El Khabar" et également sur sa nouvelle proposition concernant la mise en vente des actions d'"El Khabar" publiée sur les réseaux sociaux.
En effet, le patron de Cevital a répondu à Amar Saidani en excluant tout rôle politique «Je suis très passionné par la création des postes d'emplois et la richesse ... C'est ma seule ambition» en rajoutant qu'il n'a pas de pays de rechange et en réfutant la thèse le qualifiant de très proche au général Toufik «Les services de sécurité m'ont bloqué plusieurs projets, ils m'ont jamais aidé» déclare t-il.
Interrogé sur la position de Bouteflika et son frère conseiller Said Bouteflika, Issad Rebrab pense que c'est leur entourage qui tente de le bloquer «Je ne pense pas que le président s’intéresse réellement à ce genre d'affaires ... Je pense que c'est l'entourage du président et son frère qui tente de me bloquer» dit-il avant d'éviter de répondre à la phrase présumée du président le qualifiant de «Berlusconi Kabyle».
En effet, le patron de Cevital a répondu à Amar Saidani en excluant tout rôle politique «Je suis très passionné par la création des postes d'emplois et la richesse ... C'est ma seule ambition» en rajoutant qu'il n'a pas de pays de rechange et en réfutant la thèse le qualifiant de très proche au général Toufik «Les services de sécurité m'ont bloqué plusieurs projets, ils m'ont jamais aidé» déclare t-il.
Interrogé sur la position de Bouteflika et son frère conseiller Said Bouteflika, Issad Rebrab pense que c'est leur entourage qui tente de le bloquer «Je ne pense pas que le président s’intéresse réellement à ce genre d'affaires ... Je pense que c'est l'entourage du président et son frère qui tente de me bloquer» dit-il avant d'éviter de répondre à la phrase présumée du président le qualifiant de «Berlusconi Kabyle».