Des activistes sur les réseaux sociaux ont lancé une campagne contre la présence de la langue française dans l'environnement linguistique algérien, revendiquant «l'Arabe» comme seule langue dominante avec l'introduction de l'Anglais pour contrecarrer «la langue du colonisateur».
Les anti-francophonie en Algérie argumentent leur revendication de bannir le français par le statut mondial de la langue dépassée par l'Anglais ainsi que la mise en avant de l'identité «arabo-musulmane du pays».
Par contre d'autres voix s'élèvent pour contrecarrer la campagne qui veut, selon eux, bannir une langue, un acquis historique, un butin de guerre, comme la qualifiait feu Kateb Yacine, avec des motivations idéologiques, en utilisant l'anglais comme argument.
«C'est une polémique qui ne cesse de revenir pour faire l'actualité sur la toile algérienne propulsée par des cercles arabo-islamiste dans une forme de «francophobie» de l'élite arabophone algérienne, dont l'école algérienne a renforcé ces penchants avec l'influence de l'idéologie Baasiste d'un coté et Islamiste d'un autre coté.» écrit un internaute sur facebook.
Les anti-francophonie en Algérie argumentent leur revendication de bannir le français par le statut mondial de la langue dépassée par l'Anglais ainsi que la mise en avant de l'identité «arabo-musulmane du pays».
Par contre d'autres voix s'élèvent pour contrecarrer la campagne qui veut, selon eux, bannir une langue, un acquis historique, un butin de guerre, comme la qualifiait feu Kateb Yacine, avec des motivations idéologiques, en utilisant l'anglais comme argument.
«C'est une polémique qui ne cesse de revenir pour faire l'actualité sur la toile algérienne propulsée par des cercles arabo-islamiste dans une forme de «francophobie» de l'élite arabophone algérienne, dont l'école algérienne a renforcé ces penchants avec l'influence de l'idéologie Baasiste d'un coté et Islamiste d'un autre coté.» écrit un internaute sur facebook.