Le départ de l'ex-patron du DRS ne sera pas sans conséquence sur la scène politique algérienne, c'est ce qu'avancent plusieurs analyseurs repris par des médias algériens, qui chacun selon inféodation s’étale sur l'avenir du système algérien et la méthode dont le «sérail» procédera pour former le gouvernement sans le général Toufik.
Le journal électronique arabophone SabqPresse, va très loin en nommant même des ministres qui ne feront plus parti du nouveau gouvernement sans le soutien du général Toufik après le remaniement imminent qui suivra la mise en retraite de ce dérnier. Selon ledit journal, le premier concerné est le premier ministre, quatre fois chef du gouvernement, Abdelmalek Sellal, ainsi que Remtan Laamamra actuel ministre des affaires étrangères, selon SabeqPresse, même Tayeb Louh actuel ministre de la justice est menacé par ce changement de l'équipe gouvernementale.
De son coté Algérie1 va plus loin en désignant les hommes de Toufik comme orphelins délaissés, en rapportant les propos de «Sources bien informées» qui souhaitent garder l’anonymat « Louisa Hanoune, Amar Ghoul, Ahmed Ouyahia portent décidément la scoumoune. Tous ceux et celles dont ils prennent la défense finissent au rébus. Le dernier en date est l’ex-patron du DRS. Ils l’ont tant et si bien défendu, ainsi que tous ceux qui ont lynché Amar Saadani à la suite de la charge qu’il a osée contre le puissant général, qu’ils l’ont désigné au mauvais sort ».
La rédaction d'Algéri1 rajoute en citant un ancien Moudjahid « vous allez voir, le président va, à présent, pouvoir doter notre pays d’une nouvelle Constitution qui va définitivement nous affranchir de la tutelle de l’armée et des services de sécurité, une constitution d’un pays réellement démocratique où l’armée n’est dotée d’aucune prééminence sur l’Etat et la Nation, où il n’y a plus d’article 25″.
« En effet, c’est ce fameux article, qui a fait plus de mal que de bien à notre pays en laissant l’armée sans tutelle. Souvenez vous de feu le général de corps d’armée Mohamed Lamari qui déclarait que « Lui (le président) il a ses prérogatives et nous, nous avons les nôtres » en référence à ce fameux article 25. Cet article tabou n’a jamais été évoqué ni par la vaillante et téméraire passionaria nationale de la démocratie, ni par le docte et courageux penseur cascadeur qui ne ménage même pas le Coran….et encore moins par les chantres de la démocratie »
De nombreux médias proches du cercle présidentiel font la promotion d'une opération qui vise à créer un Etat Civil et démilitariser l'Algérie, une cause noble que Bouteflika serait entrain de défendre et concrétiser, mais l'avenir nous dira si c'était le cas ou une simple lutte d'un conflit d intérêts entre les décideur au plus haut sommet de l'Etat.
Le journal électronique arabophone SabqPresse, va très loin en nommant même des ministres qui ne feront plus parti du nouveau gouvernement sans le soutien du général Toufik après le remaniement imminent qui suivra la mise en retraite de ce dérnier. Selon ledit journal, le premier concerné est le premier ministre, quatre fois chef du gouvernement, Abdelmalek Sellal, ainsi que Remtan Laamamra actuel ministre des affaires étrangères, selon SabeqPresse, même Tayeb Louh actuel ministre de la justice est menacé par ce changement de l'équipe gouvernementale.
De son coté Algérie1 va plus loin en désignant les hommes de Toufik comme orphelins délaissés, en rapportant les propos de «Sources bien informées» qui souhaitent garder l’anonymat « Louisa Hanoune, Amar Ghoul, Ahmed Ouyahia portent décidément la scoumoune. Tous ceux et celles dont ils prennent la défense finissent au rébus. Le dernier en date est l’ex-patron du DRS. Ils l’ont tant et si bien défendu, ainsi que tous ceux qui ont lynché Amar Saadani à la suite de la charge qu’il a osée contre le puissant général, qu’ils l’ont désigné au mauvais sort ».
La rédaction d'Algéri1 rajoute en citant un ancien Moudjahid « vous allez voir, le président va, à présent, pouvoir doter notre pays d’une nouvelle Constitution qui va définitivement nous affranchir de la tutelle de l’armée et des services de sécurité, une constitution d’un pays réellement démocratique où l’armée n’est dotée d’aucune prééminence sur l’Etat et la Nation, où il n’y a plus d’article 25″.
« En effet, c’est ce fameux article, qui a fait plus de mal que de bien à notre pays en laissant l’armée sans tutelle. Souvenez vous de feu le général de corps d’armée Mohamed Lamari qui déclarait que « Lui (le président) il a ses prérogatives et nous, nous avons les nôtres » en référence à ce fameux article 25. Cet article tabou n’a jamais été évoqué ni par la vaillante et téméraire passionaria nationale de la démocratie, ni par le docte et courageux penseur cascadeur qui ne ménage même pas le Coran….et encore moins par les chantres de la démocratie »
De nombreux médias proches du cercle présidentiel font la promotion d'une opération qui vise à créer un Etat Civil et démilitariser l'Algérie, une cause noble que Bouteflika serait entrain de défendre et concrétiser, mais l'avenir nous dira si c'était le cas ou une simple lutte d'un conflit d intérêts entre les décideur au plus haut sommet de l'Etat.