Nadia Matoub, veuve du chantre et rebelle de la Kabylie, assassiné en 1998 pès de son village, se dit contre la classification de la maison de son défunt mari Matoub Lounes, comme bien culturel local par l'Etat algérien. Selon Nadia, «le pouvoir algérien devait protéger Lounes de son vivant au lieu de protéger les murs de sa maison».
Pour la veuve de Matoub Lounes, cette opération déclenchée par la direction de la culture de la wilaya de Tizi Ouzou, vise la récupération de la mémoire de l'un des symboles du combat amazigh et Kabyle «En tant que veuve, j'ai mon mot à dire, je m'oppose à cette récupération et je ne baisserais pas les bras» a t-elle déclaré dans un appel téléphonique avec Berbère TV.
Pour rappel, La direction de la culture de la wilaya de Tizi-Ouzou a présenté un dossier pour classer la maison du défunt artiste, Matoub Lounès, comme "bien culturel local", a déclaré, mi-mars, à l’APS Mme Nabila Goumeziane, directrice de wilaya de la culture.
Pour la veuve de Matoub Lounes, cette opération déclenchée par la direction de la culture de la wilaya de Tizi Ouzou, vise la récupération de la mémoire de l'un des symboles du combat amazigh et Kabyle «En tant que veuve, j'ai mon mot à dire, je m'oppose à cette récupération et je ne baisserais pas les bras» a t-elle déclaré dans un appel téléphonique avec Berbère TV.
Pour rappel, La direction de la culture de la wilaya de Tizi-Ouzou a présenté un dossier pour classer la maison du défunt artiste, Matoub Lounès, comme "bien culturel local", a déclaré, mi-mars, à l’APS Mme Nabila Goumeziane, directrice de wilaya de la culture.