La photo de Abdelaziz Bouteflika, tweetée par le premier ministre français Manuel Valls après sa visite à la tête d'une délégation ministérielle en Algérie, suscite une indignation manifestée par les figures les «plus emblématiques» du pouvoir algérien, avec des discours, qui convoquent souvent la démagogie, le faux patriotisme, le zaimisme, la théorie du complot, la trahison et même l'insulte, comme si, il ne suffisait qu'un seul tweet pour déstabiliser «Les institutions sacrées de l'Etat».
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C'était Ahmed Ouyahia qui prend le flambeau pour s'attaquer à tous ceux qui s'interrogeaient sur la santé du chef de l'Etat, après des images diffusées par les médias français et qui ont collé la «honte» sur le visage de tous les algériens, suivi par Louisa Hannoune qui parlait d'«une agression délibérée contre le chef de l'Etat algérien», puis Amar Ghoul qui déplore l'attitude de ces «algériens sans dignité» à ne pas défendre leur président pour enfin mobiliser, les «patrons» et les «travailleurs», structurés respectivement dans le FCE et l'UGTA, pour rappeler le NIF Algérien.
Le système, tout le système avec sa complicité, panique sans le soutien de l’Élysée, ses véritables poumons, se simplifie et devient très facile à décortiquer, malgré son ingénieuse ambiguïté connue et ses jeux de diversions, jusque-là, soigneusement élaborée, de l'allégeance assumée à la fausse opposition jusqu'au présumé «adversaires claniques», syndicat et patronat, tous oublient leur rôle pour jouer un seul, «l’accusateur» en l’occurrence.
C'était Ahmed Ouyahia qui prend le flambeau pour s'attaquer à tous ceux qui s'interrogeaient sur la santé du chef de l'Etat, après des images diffusées par les médias français et qui ont collé la «honte» sur le visage de tous les algériens, suivi par Louisa Hannoune qui parlait d'«une agression délibérée contre le chef de l'Etat algérien», puis Amar Ghoul qui déplore l'attitude de ces «algériens sans dignité» à ne pas défendre leur président pour enfin mobiliser, les «patrons» et les «travailleurs», structurés respectivement dans le FCE et l'UGTA, pour rappeler le NIF Algérien.
Lire : VIDEO. Quand Amar Ghoul insulte les algériens
Le système, tout le système avec sa complicité, panique sans le soutien de l’Élysée, ses véritables poumons, se simplifie et devient très facile à décortiquer, malgré son ingénieuse ambiguïté connue et ses jeux de diversions, jusque-là, soigneusement élaborée, de l'allégeance assumée à la fausse opposition jusqu'au présumé «adversaires claniques», syndicat et patronat, tous oublient leur rôle pour jouer un seul, «l’accusateur» en l’occurrence.