Belkacem Khencha ,militant pour les droits des chômeurs , a été condamné a une amende de 100 000 Dinars pour avoir dénoncé dans un entretien accordé au quotidien El-Watan les mauvaises conditions de sa détention à la prison de Laghouat, où il était incarcéré entre janvier et juillet 2015 , ont annoncé ce jeudi des médias électroniques algériens, citant son avocat.
L'avocat du concerné précise que c'est le ministère de la justice qui a envoyé une copie de l'entretien d'El-Watan au procureur de Laghouat, mais le parquet n'a pas jugé nécessaire d'auditionner les responsables de l'établissement pénitencier où son client avait purgé une peine de 06 mois de prison en 2015.
Accusé d'"outrage à corps constitué" , Belkacem Khencha dénonce "un acharnement judiciaire contre sa personne" d'après la même source qui ajoute que sa défense prévoit de faire appel de cette condamnation " dans les prochaines heures ".
Il est à rappeler que Belkacem Khencha avait déjà fait l'objet d'une condamnation à 06 mois de prison pour "attroupement non armé" , après avoir organisé un sit-in afin de demander la prise en compte des droits des chômeurs à Laghouat en 2015, l'affaire avait alors suscité une vaste campagne de solidarité et de dénonciation, notamment sur les réseaux sociaux.
L'avocat du concerné précise que c'est le ministère de la justice qui a envoyé une copie de l'entretien d'El-Watan au procureur de Laghouat, mais le parquet n'a pas jugé nécessaire d'auditionner les responsables de l'établissement pénitencier où son client avait purgé une peine de 06 mois de prison en 2015.
Accusé d'"outrage à corps constitué" , Belkacem Khencha dénonce "un acharnement judiciaire contre sa personne" d'après la même source qui ajoute que sa défense prévoit de faire appel de cette condamnation " dans les prochaines heures ".
Il est à rappeler que Belkacem Khencha avait déjà fait l'objet d'une condamnation à 06 mois de prison pour "attroupement non armé" , après avoir organisé un sit-in afin de demander la prise en compte des droits des chômeurs à Laghouat en 2015, l'affaire avait alors suscité une vaste campagne de solidarité et de dénonciation, notamment sur les réseaux sociaux.