Lakhdar Brahimi, diplomate algérien et ancien ministre des Affaires étrangères, reçus à maintes fois par le chef de l'Etat Abdelazize Bouteflika, dont la dernière audience avait lieu, dimanche 06 février à Alger.
Ces audiences affichant l'ancien candidat au présidentielle et le président en place depuis 1999, sont interprétées par les observateurs, d'une éventuelle préparation de Lakhdar Brahimi comme successeur de Abdelaziz Bouteflika, chose que l'ex-chef de fil de la diplomatie algérienne qualifie de «Pas sérieux» avant de rajouter qu'il voit le président comme «Un ancien compagnon et collègue».
Lakhdar Brahimi s’est exprimé par ailleurs sur le débat concernant la réouverture de la frontière terrestre entre l’Algérie et le Maroc. Se considérant « maghrébin convaincu », Lakhdar Brahimi a déclaré être « profondément attristé par le fait que les relations entre l’Algérie et le Maroc ne sont pas ce qu’elles devraient être ». Selon lui, « le fait que nous ayons des problèmes, des difficultés et des divergences ne devrait pas empêcher la fraternité de se manifester », estime-il.
Ces audiences affichant l'ancien candidat au présidentielle et le président en place depuis 1999, sont interprétées par les observateurs, d'une éventuelle préparation de Lakhdar Brahimi comme successeur de Abdelaziz Bouteflika, chose que l'ex-chef de fil de la diplomatie algérienne qualifie de «Pas sérieux» avant de rajouter qu'il voit le président comme «Un ancien compagnon et collègue».
Lakhdar Brahimi s’est exprimé par ailleurs sur le débat concernant la réouverture de la frontière terrestre entre l’Algérie et le Maroc. Se considérant « maghrébin convaincu », Lakhdar Brahimi a déclaré être « profondément attristé par le fait que les relations entre l’Algérie et le Maroc ne sont pas ce qu’elles devraient être ». Selon lui, « le fait que nous ayons des problèmes, des difficultés et des divergences ne devrait pas empêcher la fraternité de se manifester », estime-il.