Rachid Nekkaz, ancien franco-algérien et candidat controversé de la présidentielle de 2014 en Algérie, adepte du Buzz sur les réseaux sociaux et fondateur du Mouvement pour la Jeunesse et le Changement (MJC) non agréé par l'Etat algérien s'assume comme islamiste sur le plateau d'Ennahar en refusant la loi contre les violence faite aux femmes et en appelant à appliquer les préceptes de l'Islam.
Rachid Nekkaz, hors de la course vers El Mouradeia si l'article 51 de la nouvelle constitution soit voté par les députés algériens, soutient dans une vidéo qui date de mars 2015, que la nouvelle loi (publiée avant quelques jours sur le journal officiel), menace l'unité de la cellule familiale algérienne et peut la disloquer, tout en rappelant qu'il est contre tout ce qui peut être contraire aux préceptes de l'islam.
Il est à rappeler que le texte, qui a été entériné par l’Assemblée populaire nationale (APN) en mars dernier, avait été bloqué durant de longs mois au niveau du Conseil de la nation à cause, notamment, des pressions exercées par des courants islamo-conservateurs. Après des mois d’attente et de polémiques, l’amendement apporté au code pénal, portant essentiellement sur la protection des femmes contre toutes les formes de violence, a été publié au Journal officiel daté du 30 décembre dernier. Il entre donc en application à partir de cette date.
Rachid Nekkaz, hors de la course vers El Mouradeia si l'article 51 de la nouvelle constitution soit voté par les députés algériens, soutient dans une vidéo qui date de mars 2015, que la nouvelle loi (publiée avant quelques jours sur le journal officiel), menace l'unité de la cellule familiale algérienne et peut la disloquer, tout en rappelant qu'il est contre tout ce qui peut être contraire aux préceptes de l'islam.
Il est à rappeler que le texte, qui a été entériné par l’Assemblée populaire nationale (APN) en mars dernier, avait été bloqué durant de longs mois au niveau du Conseil de la nation à cause, notamment, des pressions exercées par des courants islamo-conservateurs. Après des mois d’attente et de polémiques, l’amendement apporté au code pénal, portant essentiellement sur la protection des femmes contre toutes les formes de violence, a été publié au Journal officiel daté du 30 décembre dernier. Il entre donc en application à partir de cette date.