Après le Brésil, la Finland et la Suède, la Suisse songe à adopter le Revenu universel pour chaque citoyens, avec l'équivalent de 2.200 euros par mois. Un referendum sera organisé le 5 juin.
Si la loi était approuvée, chaque citoyen suisse recevrait près de 2.300 euros par mois, sans condition. Ce "revenu universel garanti" serait même accordé aux résidents étrangers en situation régulière, ainsi qu'aux enfants. Les mineurs recevraient en effet une allocation d'environ 130 euros par semaine. Il s'agirait d'une première mondiale, même si d'autre pays, comme la Finlande, sont également en train d'étudier la mise en oeuvre d'une mesure similaire.
Si le revenu de base inconditionnel (RBI) était accepté par la population, 2% des Suisses arrêteraient de travailler et 8% envisageraient cette possibilité, selon un sondage des initiants.
"L'argument des opposants qu’un RBI pourrait démotiver les gens de travailler est ainsi largement démenti", écrivent les initiants mercredi. Cependant, selon le sondage mené fin novembre par DemoSCOPE, un tiers des 1076 personnes interrogées pensent que "les autres arrêteraient de travailler".
Si le revenu universel était accepté en votation le 5 juin, ses partisans soulignent que les Suisses utiliseraient leur nouveau temps libre pour poursuivre leur formation (54%), travailler en indépendants (22%) et passer plus de temps avec leur famille (53%). En outre 40% d'entre eux s'engageraient davantage dans le bénévolat.
Si la loi était approuvée, chaque citoyen suisse recevrait près de 2.300 euros par mois, sans condition. Ce "revenu universel garanti" serait même accordé aux résidents étrangers en situation régulière, ainsi qu'aux enfants. Les mineurs recevraient en effet une allocation d'environ 130 euros par semaine. Il s'agirait d'une première mondiale, même si d'autre pays, comme la Finlande, sont également en train d'étudier la mise en oeuvre d'une mesure similaire.
Si le revenu de base inconditionnel (RBI) était accepté par la population, 2% des Suisses arrêteraient de travailler et 8% envisageraient cette possibilité, selon un sondage des initiants.
"L'argument des opposants qu’un RBI pourrait démotiver les gens de travailler est ainsi largement démenti", écrivent les initiants mercredi. Cependant, selon le sondage mené fin novembre par DemoSCOPE, un tiers des 1076 personnes interrogées pensent que "les autres arrêteraient de travailler".
Si le revenu universel était accepté en votation le 5 juin, ses partisans soulignent que les Suisses utiliseraient leur nouveau temps libre pour poursuivre leur formation (54%), travailler en indépendants (22%) et passer plus de temps avec leur famille (53%). En outre 40% d'entre eux s'engageraient davantage dans le bénévolat.