C’est dans une ambiance chaleureuse et amicale que s’est déroulé la célébration du premier jour de l’an 2966 du calendrier Amazigh dans la capitale canadienne, Ottawa. Yennayer en famille a été une totale réussite avec un programme riche et varié : des plats traditionnels préparés par des mains magiques des femmes kabyles ont été servi comme buffet et ont démontré la variété et la richesse de notre gastronomie.
L’ouverture de la soirée a été une totale réussite avec une mise en scène magistrale organisée par les élèves de l’école de Tamazight. Lumières éteintes, chandelles et drapeaux Amazigh à la main, les enfants nous ont fait revivre nos traditions ancestrales. La voix les élèves de l’école de Tamazight s’élevait haut et fort pour nous rappeler notre identité et nos origines millénaires.
La chorale Tilleli, qui n’est plus à présenter, nous a séduit par ses chants variés. La voix des femmes, vêtues des leurs plus belles robes kabyles, ajoutait de la douceur et du charme à l’événement.
Ali Abjaoui, l’artiste à la voix d’or, venu spécialement de paris pour partager ces moments de joie, a gratifié les présents de ces beaux poèmes et ces belles chansons. L’assistance a dansé toute la soirée aux rythmes de sa musique.
L’honneur était à la robe Kabyle et au burnous, une tenue portée fièrement par les femmes et les hommes dignes héritiers de Massinissa et Dyhia. Tous les hommages vont à l’ACAOH qui a organisé l’événement, aux élèves de l’école de Tamazight d’Ottawa, aux bénévoles et à tous les participants.
L’ouverture de la soirée a été une totale réussite avec une mise en scène magistrale organisée par les élèves de l’école de Tamazight. Lumières éteintes, chandelles et drapeaux Amazigh à la main, les enfants nous ont fait revivre nos traditions ancestrales. La voix les élèves de l’école de Tamazight s’élevait haut et fort pour nous rappeler notre identité et nos origines millénaires.
La chorale Tilleli, qui n’est plus à présenter, nous a séduit par ses chants variés. La voix des femmes, vêtues des leurs plus belles robes kabyles, ajoutait de la douceur et du charme à l’événement.
Ali Abjaoui, l’artiste à la voix d’or, venu spécialement de paris pour partager ces moments de joie, a gratifié les présents de ces beaux poèmes et ces belles chansons. L’assistance a dansé toute la soirée aux rythmes de sa musique.
L’honneur était à la robe Kabyle et au burnous, une tenue portée fièrement par les femmes et les hommes dignes héritiers de Massinissa et Dyhia. Tous les hommages vont à l’ACAOH qui a organisé l’événement, aux élèves de l’école de Tamazight d’Ottawa, aux bénévoles et à tous les participants.