L’ancien Ministre de la défense, le général Khaled Nezzar, s’est de nouveau exprimé dans un entretien accordé au quotidien arabophone Echourouk le 14 janvier 2016. Cette fois le général évoque l’étape de la guerre de libération et la période ou il avait travaillé dans l’armée française, qu’il avait désertée pour rejoindre le FLN.
L’ancien homme fort de l’Algérie des années 1990 a précisé qu’il avait été envoyé en Allemagne en 1956 ou il devait « travailler dans l’armée française », en ajoutant qu’il avait été contacté par des militants du FLN sur place en vue de rejoindre le mouvement de libération.
Répondant sur une question à propos des raisons qui l’ont empêché de rejoindre le FLN depuis sa région natale, Khaled Nezzar a précisé qu’il ne voulait pas mettre sa famille « dans des problèmes supplémentaires » car sa région et sa famille « avaient assez souffert ».
Sur la question des officiers déserteurs de l’armée française, souvent accusés d’avoir infiltré l’ALN, Khaled Nezzar précise que « ceux qui parlent de ces histoires ont des objectifs cachés », « J’ai combattu et j’ai été blessé dans les rangs de l’ALN.» ajoute-t-il.
Il est à rappeler que Khaled Nezzar créée la polémique depuis plusieurs jours suites aux déclarations ou il a nié avoir proposé le poste de chef de l’état au défunt Hocine Aït Ahmed en 1992, déclarations qui ont été depuis contredites par plusieurs personnalités proches de l’ancien général à cette époque.
L’ancien homme fort de l’Algérie des années 1990 a précisé qu’il avait été envoyé en Allemagne en 1956 ou il devait « travailler dans l’armée française », en ajoutant qu’il avait été contacté par des militants du FLN sur place en vue de rejoindre le mouvement de libération.
Répondant sur une question à propos des raisons qui l’ont empêché de rejoindre le FLN depuis sa région natale, Khaled Nezzar a précisé qu’il ne voulait pas mettre sa famille « dans des problèmes supplémentaires » car sa région et sa famille « avaient assez souffert ».
Sur la question des officiers déserteurs de l’armée française, souvent accusés d’avoir infiltré l’ALN, Khaled Nezzar précise que « ceux qui parlent de ces histoires ont des objectifs cachés », « J’ai combattu et j’ai été blessé dans les rangs de l’ALN.» ajoute-t-il.
Il est à rappeler que Khaled Nezzar créée la polémique depuis plusieurs jours suites aux déclarations ou il a nié avoir proposé le poste de chef de l’état au défunt Hocine Aït Ahmed en 1992, déclarations qui ont été depuis contredites par plusieurs personnalités proches de l’ancien général à cette époque.