Louisa Hanoune, secrétaire général du Parti des travailleurs (PT) dénonce plusieurs points de la mouture de la nouvelle constitution dévoilée par le directeur de cabinet de la présidence algérienne, Ahmed Ouyahia.
La femme forte du PT, ancienne proche du cercle présidentiel et signataire de lettre de demande d'audience à Bouteflika qui a fait couler beaucoup d'encre, critique une discrimination dans le texte officialisant Tamazight en précisant que l'Arabe demeure langue officielle de l'Etat en se demandant « On a précisé que l’arabe est la langue officielle de l’État. Le tamazight est langue officielle mais de qui ? Du peuple seulement ? Des voisins ? » avant de rajouter « Donc, pourquoi ne pas promouvoir aussi les dialectes de l’arabe ? On ouvrira des portes qu’on ne pourra plus refermer. Pourquoi cette discrimination ! » en parlant de la promotion des dialectes amazigh.
Louisa Hanoune a par ailleurs critiqué plusieurs disposition de l'avant-projet proposé par Bouteflika, à l'image de la séparation des pouvoir en épinglant le poste occupé par le chef de l'Etat en étant aussi ministre de la défense ainsi que la nomination par décret des membres de l'instance indépendante pour la surveillance des élections, ce qui les transforme « en fonctionnaires ». Elle s’interroge sur la « neutralité » de l’institution militaire lors des élections.
Khaled.B avec Agences
La femme forte du PT, ancienne proche du cercle présidentiel et signataire de lettre de demande d'audience à Bouteflika qui a fait couler beaucoup d'encre, critique une discrimination dans le texte officialisant Tamazight en précisant que l'Arabe demeure langue officielle de l'Etat en se demandant « On a précisé que l’arabe est la langue officielle de l’État. Le tamazight est langue officielle mais de qui ? Du peuple seulement ? Des voisins ? » avant de rajouter « Donc, pourquoi ne pas promouvoir aussi les dialectes de l’arabe ? On ouvrira des portes qu’on ne pourra plus refermer. Pourquoi cette discrimination ! » en parlant de la promotion des dialectes amazigh.
Louisa Hanoune a par ailleurs critiqué plusieurs disposition de l'avant-projet proposé par Bouteflika, à l'image de la séparation des pouvoir en épinglant le poste occupé par le chef de l'Etat en étant aussi ministre de la défense ainsi que la nomination par décret des membres de l'instance indépendante pour la surveillance des élections, ce qui les transforme « en fonctionnaires ». Elle s’interroge sur la « neutralité » de l’institution militaire lors des élections.
Khaled.B avec Agences