Abdallah Djaballah, président du Front pour la justice et le développement (FJD) d’obédience islamiste, dénonce dans un document de huit pages, la nouvelle constitution proposée par Bouteflika au législateur algérien en déplorant deux points qui seraient selon lui un danger sur les fondements de l'Etat algérien et une déviation des principes du 1er novembre.
Connu comme hostile à la langue Amazigh, l'ancien des frères musulmans algériens était prédictible en dénonçant «l'ambiguïté de l'avant-projet de la nouvelle constitution» sur l'alphabet qui sera utilisée dans la transcription de Tamazight en défendant l'alphabet arabe et en épinglant une éventuelle utilisation du Latin « Cette négligence est voulue et servira ceux qui appellent à ce que cette langue soit écrite avec l’alphabet latin. Si cela se produit, ça sera quelque chose de très grave contre la langue arabe»
Il a par ailleurs dénoncé ce qu'il a appelé «La laïcité de l'Etat», « Le préambule a provoqué une coupure entre l’État du 1er Novembre quand il indique qu’elle (la Constitution) garantit la liberté de tout individu dans le cadre d’un État démocratique et républicain ». Pour lui, cette manière de présenter les choses sert « une orientation laïque de l’État » et non l’État décrit dans la déclaration du 1er novembre « qui parle d’un État algérien, démocratique, social, souverain dans le cadre des principes islamiques ».
Connu comme hostile à la langue Amazigh, l'ancien des frères musulmans algériens était prédictible en dénonçant «l'ambiguïté de l'avant-projet de la nouvelle constitution» sur l'alphabet qui sera utilisée dans la transcription de Tamazight en défendant l'alphabet arabe et en épinglant une éventuelle utilisation du Latin « Cette négligence est voulue et servira ceux qui appellent à ce que cette langue soit écrite avec l’alphabet latin. Si cela se produit, ça sera quelque chose de très grave contre la langue arabe»
Il a par ailleurs dénoncé ce qu'il a appelé «La laïcité de l'Etat», « Le préambule a provoqué une coupure entre l’État du 1er Novembre quand il indique qu’elle (la Constitution) garantit la liberté de tout individu dans le cadre d’un État démocratique et républicain ». Pour lui, cette manière de présenter les choses sert « une orientation laïque de l’État » et non l’État décrit dans la déclaration du 1er novembre « qui parle d’un État algérien, démocratique, social, souverain dans le cadre des principes islamiques ».