Le ministère de transport compte revoir les conditions et les procédures d'obtention du permis de conduire dans le but de réduire le nombre d'accidents de circulation en Algérie qui coûtent la vie à plus de quatre milles personnes en une seule année.
L'âge minimum pour pouvoir passer l'examen sera revu à la hausse, selon nos source, le ministère de transport appliquera l'âge de 20 ans tout en augmentant le temps consacré à chaque examen à 30 minutes pour la catégorie "B" et 50 minutes pour les autres catégories au lieu de 5-10 minutes.
«Le ministère du transport appliquera un âge minimum de 20 ans à la catégorie "B" et de 27 ans pour les catégories "C et D" et cela dans l'objectif de réduire le nombre d'accidents» indique une source bien informée.
Le facteur humain est à l’origine de 86,74% des accidents de la route, suivi de l’excès de vitesse, des dépassements dangereux, de l’imprudence des piétons et de l’état des routes et des véhicules, ont précisé les services de la Gendarmerie nationale.
Par ailleurs, ntre le 29 décembre 2015 et le 4 janvier 2016, soixante-trois personnes ont trouvé la mort et 512 autres ont été blessées dans 279 accidents de la route survenus dans différentes régions du pays.
La gendarmerie nationale indique que le bilan le plus lourd a été enregistré dans la wilaya de Chlef où dix (10) personnes ont perdu la vie, suivie des wilayas de Tlemcen et d’Adrar où cinq personnes ont trouvé la mort.
![Permis de conduire : L'âge minimum revu à la hausse]( "Permis de conduire : L'âge minimum revu à la hausse")
L'âge minimum pour pouvoir passer l'examen sera revu à la hausse, selon nos source, le ministère de transport appliquera l'âge de 20 ans tout en augmentant le temps consacré à chaque examen à 30 minutes pour la catégorie "B" et 50 minutes pour les autres catégories au lieu de 5-10 minutes.
«Le ministère du transport appliquera un âge minimum de 20 ans à la catégorie "B" et de 27 ans pour les catégories "C et D" et cela dans l'objectif de réduire le nombre d'accidents» indique une source bien informée.
Le facteur humain est à l’origine de 86,74% des accidents de la route, suivi de l’excès de vitesse, des dépassements dangereux, de l’imprudence des piétons et de l’état des routes et des véhicules, ont précisé les services de la Gendarmerie nationale.
Par ailleurs, ntre le 29 décembre 2015 et le 4 janvier 2016, soixante-trois personnes ont trouvé la mort et 512 autres ont été blessées dans 279 accidents de la route survenus dans différentes régions du pays.
La gendarmerie nationale indique que le bilan le plus lourd a été enregistré dans la wilaya de Chlef où dix (10) personnes ont perdu la vie, suivie des wilayas de Tlemcen et d’Adrar où cinq personnes ont trouvé la mort.
Khaled Belkouche
