Des jeunes Kabyles filment leur malheureuse aventure sur un «bateau de la mort», ils rigôlent vraisemblement pour oublier leur peur et crainte après trois heurs au large de la Méditerrané en compagnie d'autres réfugies.
Ils s'expriment en Kabyle entre eux, étonnés de ne pas voir de côte alors que la mer commence à se déchaîner. « Inchallah, on va arriver, je ne vois pas pas d’île », dit l’un d’entre eux. Ils se demandent s’ils vont accoster à Izmir (Turquie) car ils ont perdu tous leurs repères.
Chaque semaine, des embarcations de fortune sont interceptées avec des candidats à l'exode illicite. Ni les nombreux naufrages mortels qu'ont subis des dizaines de candidats précédents en tentant de rejoindre les côtes italiennes ou espagnoles ni la vigilance des garde-côtes nationaux qui interpellent méthodiquement ces naufragés volontaires, de plus en plus accompagnés de femmes et même d'enfants, ne parviennent à dissuader les aventuriers.
Ils s'expriment en Kabyle entre eux, étonnés de ne pas voir de côte alors que la mer commence à se déchaîner. « Inchallah, on va arriver, je ne vois pas pas d’île », dit l’un d’entre eux. Ils se demandent s’ils vont accoster à Izmir (Turquie) car ils ont perdu tous leurs repères.
Chaque semaine, des embarcations de fortune sont interceptées avec des candidats à l'exode illicite. Ni les nombreux naufrages mortels qu'ont subis des dizaines de candidats précédents en tentant de rejoindre les côtes italiennes ou espagnoles ni la vigilance des garde-côtes nationaux qui interpellent méthodiquement ces naufragés volontaires, de plus en plus accompagnés de femmes et même d'enfants, ne parviennent à dissuader les aventuriers.