La vice-présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA) et de BusinessMed (Union méditerranéenne des confédérations d’entreprises), Saïda Neghza se dit victime d'intimidations du patron des patrons algériens, Chef du FCE, Ali Haddad.
En larmes, après avoir révélé une communication téléphonique mettant en cause Ali Hadda, Saida Neghza se dit en danger et demande lors d’une conférence animée par la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA) et l’a accusé d’avoir proféré des menaces contre sa personne.
vice-présidente de la CGEA, Neghza Saïda, a exhibé deux lettres envoyées par le FCE à l'Organisation internationale des employeurs (OIE) et à l’Union méditerranéenne des confédérations d’entreprises (BusinessMed), comme preuves à charge. Dans la première lettre, M. Ali Haddad a demandé l’adhésion du FCE à l’OIE. Dans la seconde lettre, la secrétaire générale du FCE dénonce “les allégations de la vice-présidente de BusinessMed (également vice-présidente de la CGEA, ndlr), selon lesquelles le FCE aurait exercé des pressions prétendument en vue de l’évincer de sa position de vice-présidente de BusinessMed”.
Dans cette lettre, le FCE demande à la secrétaire générale de BusinessMed “de confirmer ou d’infirmer ces allégations”. Dans la mesure où “de telles pressions ont été effectivement exercées au nom du FCE”, l’organisation d’Ali Haddad demande à BusinessMed de lui communiquer “les noms des personnes qui auraient agi ainsi, en violation des règles d’éthique que dicte l’organisation à ses membres”. Dans le cas contraire, le FCE a souhaité que BusinessMed désavoue sa vice-présidente. “Le FCE ne pourra évidemment pas adhérer à une organisation dont la vice-présidente tient des propos aussi infamants envers ses membres”, a averti M. Haddad. Le président de la CGEA, Habib Yousfi, dans un courrier au président de BusinessMed, estime que “l’attitude du FCE admis en tant que membre non votant de Business Med, constitue une agression condamnable”. La CGEA persiste et signe. Le FCE a proposé au président Jacques Sarraf l’élimination de Mme Saïda Neghza de la vice-présidence de BusinessMed. La vice-présidente de la CGEA a fait écouter hier aux journalistes une conversation téléphonique avec un membre du FCE sur ce sujet, a rapporté Liberté.
En larmes, après avoir révélé une communication téléphonique mettant en cause Ali Hadda, Saida Neghza se dit en danger et demande lors d’une conférence animée par la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA) et l’a accusé d’avoir proféré des menaces contre sa personne.
vice-présidente de la CGEA, Neghza Saïda, a exhibé deux lettres envoyées par le FCE à l'Organisation internationale des employeurs (OIE) et à l’Union méditerranéenne des confédérations d’entreprises (BusinessMed), comme preuves à charge. Dans la première lettre, M. Ali Haddad a demandé l’adhésion du FCE à l’OIE. Dans la seconde lettre, la secrétaire générale du FCE dénonce “les allégations de la vice-présidente de BusinessMed (également vice-présidente de la CGEA, ndlr), selon lesquelles le FCE aurait exercé des pressions prétendument en vue de l’évincer de sa position de vice-présidente de BusinessMed”.
Dans cette lettre, le FCE demande à la secrétaire générale de BusinessMed “de confirmer ou d’infirmer ces allégations”. Dans la mesure où “de telles pressions ont été effectivement exercées au nom du FCE”, l’organisation d’Ali Haddad demande à BusinessMed de lui communiquer “les noms des personnes qui auraient agi ainsi, en violation des règles d’éthique que dicte l’organisation à ses membres”. Dans le cas contraire, le FCE a souhaité que BusinessMed désavoue sa vice-présidente. “Le FCE ne pourra évidemment pas adhérer à une organisation dont la vice-présidente tient des propos aussi infamants envers ses membres”, a averti M. Haddad. Le président de la CGEA, Habib Yousfi, dans un courrier au président de BusinessMed, estime que “l’attitude du FCE admis en tant que membre non votant de Business Med, constitue une agression condamnable”. La CGEA persiste et signe. Le FCE a proposé au président Jacques Sarraf l’élimination de Mme Saïda Neghza de la vice-présidence de BusinessMed. La vice-présidente de la CGEA a fait écouter hier aux journalistes une conversation téléphonique avec un membre du FCE sur ce sujet, a rapporté Liberté.