Sans le citer, le ministre de l'industrie et des mines algérien Abdesslam Bouchouareb, s'est attaqué une nouvelle fois au PDG du plus grand groupe privé algérien. «Quand tous ces acteurs entreront en production, aucun producteur ne décidera sur un coup de tête d’augmenter les prix de 15%», a-t-il lancé. Le ministre de l’Industrie inaugurant, hier, l’usine de sucre algéro-française La Belle-Cristal Union. Selon Bouchouareb, cette “réalisation”, et deux autres à venir, à l’est et à l’ouest du pays, résoudront le problème national du sucre.
Par ailleurs, en politique aguerri, il explique la levée de boucliers des partis de l’opposition: «Ils avaient d’autres objectifs, ils ont été maladroits.»
Visiblement très en forme et prêt à en découdre avec ses détracteurs, le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb a rendu les coups, hier, à partir de Boumerdès, où il a inauguré une usine de raffinage de sucre, fruit d’un partenariat privé algéro-français. Le ministre a sans doute choisi le lieu et le moment pour répliquer à ses accusateurs. Il n’y a rien de meilleur qu’une unité de production pour affirmer la réussite d’une démarche.
En effet, au moment où dans d’autres pays on cherche désespérément à sauvegarder des emplois, en Algérie on en crée par centaines. Le message, même s’il n’est pas dit clairement par le ministre, est clairement «subliminal». Ainsi, à partir de cette «tribune» productive, Bouchouareb trouve très facilement ses mots pour répondre à ceux qui assimilent la re-nationalisation du complexe sidérurgique d’El Hadjar à un échec économique du gouvernement.
Par ailleurs, en politique aguerri, il explique la levée de boucliers des partis de l’opposition: «Ils avaient d’autres objectifs, ils ont été maladroits.»
Visiblement très en forme et prêt à en découdre avec ses détracteurs, le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb a rendu les coups, hier, à partir de Boumerdès, où il a inauguré une usine de raffinage de sucre, fruit d’un partenariat privé algéro-français. Le ministre a sans doute choisi le lieu et le moment pour répliquer à ses accusateurs. Il n’y a rien de meilleur qu’une unité de production pour affirmer la réussite d’une démarche.
En effet, au moment où dans d’autres pays on cherche désespérément à sauvegarder des emplois, en Algérie on en crée par centaines. Le message, même s’il n’est pas dit clairement par le ministre, est clairement «subliminal». Ainsi, à partir de cette «tribune» productive, Bouchouareb trouve très facilement ses mots pour répondre à ceux qui assimilent la re-nationalisation du complexe sidérurgique d’El Hadjar à un échec économique du gouvernement.