Le général Tartag, nouveau patron du mythique Département du Renseignement et de la Sécurité, est apparu publiquement devant les caméras de télévision, dans une première en Algérie où l'ex-chef du même département était inconnu aux Algérien et préférait rester à l'ombre allant jusqu'à l'interdiction de le prendre en photo pendant un quart de siècle.
Les images révélées par la chaîne de télévision privée très proche du sérail, les a accompagné par un commentaire saluant l'aptitude du nouvel homme fort du DRS, qui selon la même chaîne, vient d’asseoir une nouvelle stratégie de communication dans le cadre d'un Etat civil.
Athmane Tartag est né au début des années 1950 dans la région de Constantine. Après une licence de géographie obtenue à l’université de Constantine, il répond à l’appel lancé dans les années 1972 par le président Boumediène, qui souhaitait voir les jeunes licenciés rejoindre l’ANP.
Recruté par la Sécurité militaire (l’ancêtre du DRS) en 1972, alors qu’il est encore étudiant, Athmane Tartag se voit confier, en 1978, la gestion du bureau de sécurité d’Oum El Bouaghi, puis en 1981 celui de Jijel. Ce n’est qu’en 1985 que le jeune officier des services de renseignement est affecté à Alger pour prendre en charge le bureau de sécurité de la wilaya.
Lire plus sur : Qui est le général Tartag, le nouveau patron du DRS ?
Les images révélées par la chaîne de télévision privée très proche du sérail, les a accompagné par un commentaire saluant l'aptitude du nouvel homme fort du DRS, qui selon la même chaîne, vient d’asseoir une nouvelle stratégie de communication dans le cadre d'un Etat civil.
Athmane Tartag est né au début des années 1950 dans la région de Constantine. Après une licence de géographie obtenue à l’université de Constantine, il répond à l’appel lancé dans les années 1972 par le président Boumediène, qui souhaitait voir les jeunes licenciés rejoindre l’ANP.
Recruté par la Sécurité militaire (l’ancêtre du DRS) en 1972, alors qu’il est encore étudiant, Athmane Tartag se voit confier, en 1978, la gestion du bureau de sécurité d’Oum El Bouaghi, puis en 1981 celui de Jijel. Ce n’est qu’en 1985 que le jeune officier des services de renseignement est affecté à Alger pour prendre en charge le bureau de sécurité de la wilaya.
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