Zahia Bachir et Fahima Laidi, consécutivement militantes, représentante d'une ONG des peuples autochtones et ingénieur chercheur en environnement, les deux jeunes femmes parées de robes Kabyles, représente fièrement la Kabylie et les Amazighs au COP21 tenue à Paris (France).
Fahima, dans une intervention sur la chaîne de télévision Berbère TV au microphone de Kamel Tarwiht, semble déçue de la délégation algérienne dont elle a essayé d'approcher pour leur proposer ses idées dans l'espoir d'aller d'avantage vers des énergies propres et renouvelables, tout en soulignant au journaliste vedette de BRTV, l'absence d'une volonté réelle en Algérie d'aller dans ce sens malgré les moyens matériels et humains qu'arbore l'Algérie.
De son coté, la militante écologiste Zahia Bachir qui défend les droits des peuples autochtones s'est montrée très fière de représenter la Kabylie et les Amazigh dans cette COP21 « J'étais heureuse de pouvoir saluer François Hollande, à défaut de voir notre président introuvable ... Je me suis présenté comme une Kabyle Amazigh de Tizi Ouzou», avant de mettre en lumière les traditions millénaires des Kabyles et leur relation étroite avec l'environnement ainsi que l’expérience de son village Iguersafen élu le village le plus propre de Kabylie.
Zahia Bachir, aussi déçue du pouvoir algérien s'est dite représenter la Kabylie et les Amazighs et non le pouvoir Algérien.
Par ailleurs, Initialement prévue vendredi après-midi, l'adoption du texte final pour lutter contre le réchauffement climatique a finalement été repoussée à samedi matin, 9 heures. En attendant, les négociations se sont déroulées jusqu'au petit matin vendredi sans toutefois déboucher sur l'éclaircissement ou la résolution de tous les points de friction de la nouvelle ébauche d'accord, présentée jeudi soir par Laurent Fabius, président de la COP21.
Fahima, dans une intervention sur la chaîne de télévision Berbère TV au microphone de Kamel Tarwiht, semble déçue de la délégation algérienne dont elle a essayé d'approcher pour leur proposer ses idées dans l'espoir d'aller d'avantage vers des énergies propres et renouvelables, tout en soulignant au journaliste vedette de BRTV, l'absence d'une volonté réelle en Algérie d'aller dans ce sens malgré les moyens matériels et humains qu'arbore l'Algérie.
De son coté, la militante écologiste Zahia Bachir qui défend les droits des peuples autochtones s'est montrée très fière de représenter la Kabylie et les Amazigh dans cette COP21 « J'étais heureuse de pouvoir saluer François Hollande, à défaut de voir notre président introuvable ... Je me suis présenté comme une Kabyle Amazigh de Tizi Ouzou», avant de mettre en lumière les traditions millénaires des Kabyles et leur relation étroite avec l'environnement ainsi que l’expérience de son village Iguersafen élu le village le plus propre de Kabylie.
Zahia Bachir, aussi déçue du pouvoir algérien s'est dite représenter la Kabylie et les Amazighs et non le pouvoir Algérien.
Par ailleurs, Initialement prévue vendredi après-midi, l'adoption du texte final pour lutter contre le réchauffement climatique a finalement été repoussée à samedi matin, 9 heures. En attendant, les négociations se sont déroulées jusqu'au petit matin vendredi sans toutefois déboucher sur l'éclaircissement ou la résolution de tous les points de friction de la nouvelle ébauche d'accord, présentée jeudi soir par Laurent Fabius, président de la COP21.