Le général-major Djamel Kehal Medjdoub, ex-patron de la Direction de la sécurité et de la protection présidentielle (DSSP), a été condamné mercredi 2 décembre par le tribunal militaire de Constantine à 3 ans de prison ferme.
Jugé à huis clos, Djamel Kehal Medjdoub était poursuivi dans le cadre d’une affaire de tentative supposée d’intrusion dans la résidence du président Bouteflika, à Zéralda. On ignore pour l’heure les motifs de cette condamnation, encore moins les circonstances dans lesquelles s’est déroulé le procès. Ni le ministère de la Justice, ni le ministère de la Défense n’ont émis le moindre communiqué autour de cette affaire.
En charge de la protection et de la sécurité présidentielle depuis une dizaine d’années, ce général-major a été relevé de ses fonctions en juillet dernier peu de temps après que la presse ait fait état de cette tentative d’intrusion dans la résidence qui sert de lieu de vie et de travail du chef de l’Etat. Le patron de la garde républicaine a également été limogé dans la foulée.
Dans la nuit du 16 au 17 juillet dernier, un lieutenant de la garde présidentielle aurait ouvert le feu sur un ou plusieurs hommes armés qui auraient tenté de s’introduire dans cette résidence. Jugé en septembre, ce lieutenant a écopé d’une peine de trois ans de prison.
Selon Impact24, l’enquête qui a été confiée à la gendarmerie avait conclu que les douilles retrouvées sur les lieux appartenaient à ce membre de la garde présidentielle. Entendu comme témoin dans cette affaire, le général-major Djamel Kehal Medjdoub n’avait pas été inquiété par la justice militaire à l’époque du jugement.
Libre de ses mouvements, il a d’ailleurs pu voyager à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Pas pour longtemps. Rattrapé par la justice, l’ex-chef de la DSPP se retrouve aujourd’hui en prison. Il n’est pas le seul. Deux autres hauts gradés de l’armée sont également inquiétés par la justice….
Jugé à huis clos, Djamel Kehal Medjdoub était poursuivi dans le cadre d’une affaire de tentative supposée d’intrusion dans la résidence du président Bouteflika, à Zéralda. On ignore pour l’heure les motifs de cette condamnation, encore moins les circonstances dans lesquelles s’est déroulé le procès. Ni le ministère de la Justice, ni le ministère de la Défense n’ont émis le moindre communiqué autour de cette affaire.
En charge de la protection et de la sécurité présidentielle depuis une dizaine d’années, ce général-major a été relevé de ses fonctions en juillet dernier peu de temps après que la presse ait fait état de cette tentative d’intrusion dans la résidence qui sert de lieu de vie et de travail du chef de l’Etat. Le patron de la garde républicaine a également été limogé dans la foulée.
Dans la nuit du 16 au 17 juillet dernier, un lieutenant de la garde présidentielle aurait ouvert le feu sur un ou plusieurs hommes armés qui auraient tenté de s’introduire dans cette résidence. Jugé en septembre, ce lieutenant a écopé d’une peine de trois ans de prison.
Selon Impact24, l’enquête qui a été confiée à la gendarmerie avait conclu que les douilles retrouvées sur les lieux appartenaient à ce membre de la garde présidentielle. Entendu comme témoin dans cette affaire, le général-major Djamel Kehal Medjdoub n’avait pas été inquiété par la justice militaire à l’époque du jugement.
Libre de ses mouvements, il a d’ailleurs pu voyager à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Pas pour longtemps. Rattrapé par la justice, l’ex-chef de la DSPP se retrouve aujourd’hui en prison. Il n’est pas le seul. Deux autres hauts gradés de l’armée sont également inquiétés par la justice….