La nouvelle controversée loi de finance touche aussi à la diaspora algérienne à l'étranger. En effet, des amendements ont été portés et approuvés dans le projet de la loi de finances de 2016, par les représentants, à l’APN, de notre communauté nationale à l’étranger, dont Belmeddah et Bouras, en faveur de nos émigrés.
A travers ces amendements, note Echourouk sur son site internet version francophone, la création d’un fonds de soutien, dans le cadre de la solidarité nationale, qui sera alimenté par une taxe prélevée lors du renouvellement de la carte consulaire, pour le transfert vers l’Algérie des dépouilles de nos migrants, décédés à l’étranger pour les résidents nécessiteux et les harraga.
L’autre amendement portait sur la déclaration des avoirs en devises des étrangers, en entrant sur le territoire national, et obligation de convertir au moins 1000 euros ou l’équivalent, dans un circuit légal de change.
A travers ces amendements, note Echourouk sur son site internet version francophone, la création d’un fonds de soutien, dans le cadre de la solidarité nationale, qui sera alimenté par une taxe prélevée lors du renouvellement de la carte consulaire, pour le transfert vers l’Algérie des dépouilles de nos migrants, décédés à l’étranger pour les résidents nécessiteux et les harraga.
L’autre amendement portait sur la déclaration des avoirs en devises des étrangers, en entrant sur le territoire national, et obligation de convertir au moins 1000 euros ou l’équivalent, dans un circuit légal de change.