Nora Cheddad, styliste qui a organisé en janvier dernier un défilé de mode berbère ouvre ce mercredi au 7 passage de l’image de Saint-Martin, sa boutique avec des créations qui mettent en avant la culture berbère. En effet, rapporté par le parisien, la boutique ne manque de rien, les céramiques, les bijoux, l’huile d’argan et bien sûr les tenues aux tissus si typiques.
Ce mercredi, à Créteil-Village, Nora Cheddad, styliste d’origine kabyle, à la tête depuis 20 ans de l’espace franco-berbère ouvre la première boutique de mode berbère.
Le Parisien rapporte sur son site internet, les propos de Nora, une philosophie qui accompagne un projet «Je veux faire ressusciter l’art vestimentaire berbère. Notre référence identitaire, c’est celle de l’amazir, l’homme libre, et pas les clichés liés à l’idéologie religieuse moyen-orientale, présente la créatrice, cadre infirmier à l’origine. En ces temps difficiles, c’est justement le moment pour redonner du sens à l’histoire de ces peuples d’Algérie, du Maroc ou de Tunisie.»
Ce mercredi, pour le lancement, les clients seront chouchoutés : thé berbère avec mini défilé pour présenter les tenues de prêt à porter ou de cérémonie. Pas une robe, une veste ou un pantalon qu’elle n’ait supervisés, épaulé par le modéliste Jean-François de Massias. Sa griffe : la fouta, tissu rayé typique de couleur différente selon les régions qu’elle place sur le liseré d’un jean, sur la ceinture d’un manteau, le revers d’une chemise…
En temps de crise, un pari risqué ? «Les berbères en France sont 2 millions, cela représente un marché, juge Nora Cheddad. Or, peu de choses existent.» En janvier, elle avait organisé son premier défilé. Grand succès. Et avant même d’avoir ouvert «Nora Cheddad Créations», le carnet de commandes commence déjà à se garnir.
Ce mercredi, à Créteil-Village, Nora Cheddad, styliste d’origine kabyle, à la tête depuis 20 ans de l’espace franco-berbère ouvre la première boutique de mode berbère.
Le Parisien rapporte sur son site internet, les propos de Nora, une philosophie qui accompagne un projet «Je veux faire ressusciter l’art vestimentaire berbère. Notre référence identitaire, c’est celle de l’amazir, l’homme libre, et pas les clichés liés à l’idéologie religieuse moyen-orientale, présente la créatrice, cadre infirmier à l’origine. En ces temps difficiles, c’est justement le moment pour redonner du sens à l’histoire de ces peuples d’Algérie, du Maroc ou de Tunisie.»
Ce mercredi, pour le lancement, les clients seront chouchoutés : thé berbère avec mini défilé pour présenter les tenues de prêt à porter ou de cérémonie. Pas une robe, une veste ou un pantalon qu’elle n’ait supervisés, épaulé par le modéliste Jean-François de Massias. Sa griffe : la fouta, tissu rayé typique de couleur différente selon les régions qu’elle place sur le liseré d’un jean, sur la ceinture d’un manteau, le revers d’une chemise…
En temps de crise, un pari risqué ? «Les berbères en France sont 2 millions, cela représente un marché, juge Nora Cheddad. Or, peu de choses existent.» En janvier, elle avait organisé son premier défilé. Grand succès. Et avant même d’avoir ouvert «Nora Cheddad Créations», le carnet de commandes commence déjà à se garnir.