Dans une déclaration publiée sur le site électronique AlgériePatriotique, Khaled Nezzar le général en retraite qualifie la condamnation du général Hassan ex-patron de la cellule anti-terroriste au sain du DRS de criminelle : «La condamnation du général Hassan est criminelle». En effet, Khaled Nezzar, malgré ne pas avoir connu personnellement le général incarcéré, déplore sa condamnation «je suis surpris par la sévérité de ce jugement qui efface d’un trait toute une carrière d’un homme qui a voué sa vie pour le service de la nation. C’est une condamnation criminelle et infamante qui jette l’opprobre sur le général Abdelkader Aït Ouarabi (dit Hassan) et sa famille.».
Le général en retraite se dit tu pendant la phase d’instruction, d’incarcération et de jugement pour ne pas perturber le libre déroulement du procès, jusqu'à «L’énoncé de ce verdict d’une telle sévérité n’a pas manqué de m’interpeller en ma qualité de militaire et, d’autre part, en tant qu’ancien ministre de la Défense nationale. C’est cette qualité et celle aussi d’ancien chef d’état-major de l’ANP qui me désignent beaucoup plus qu’une autre, pour me prononcer sur les fâcheuses conséquences que pourrait avoir la décision du tribunal militaire d’Oran. Les délits, qualifiés d’«infraction aux consignes générales de l’armée», n’auraient jamais dû relever du domaine pénal ; ils devaient se limiter à l'aspect disciplinaire. L’infraction aux consignes générales de l’armée, portée dans le code de justice militaire, a été âprement discutée et contestée au sein de la commission ad hoc qui a eu à l’élaborer, en raison de son imprécision. Certains n’ont pas hésité à considérer cet article comme un chef d’accusation «fourre-tout», susceptible d’être opposé à quiconque.»
En mettant en cause, les articles et la méthode qui conduit à la condamnation du général Hassan, l'ex-ministre de la défense, Khaled Nezzar se pose la question « en cette période d’incertitudes, de savoir si le général Hassan n’a pas servi d’alibi aux «commandeurs» de cette mascarade. Traitée dans un climat serein, ce que l’on peut qualifier aujourd’hui «d’affaire Hassan» n’aurait jamais eu un tel retentissement. Le général Hassan méritait, tout au plus, une sanction militaire de quelques jours de forteresse. Le général de corps d’armée Mohamed Mediene, alors qu’il était encore en service, avait, à travers une correspondance adressée au président de la République, expliqué les tenants et les aboutissants de cette affaire. Il avait souligné qu’en tant que chef hiérarchique direct du général Hassan, il était responsable de tout ce qui pouvait être reproché à ce dernier et qu’en conséquence, il en assumait l’entière responsabilité. Il n’y a pas eu de réponse ce jour…», conclut l'ancien chef d'Etat Major.
Le général en retraite se dit tu pendant la phase d’instruction, d’incarcération et de jugement pour ne pas perturber le libre déroulement du procès, jusqu'à «L’énoncé de ce verdict d’une telle sévérité n’a pas manqué de m’interpeller en ma qualité de militaire et, d’autre part, en tant qu’ancien ministre de la Défense nationale. C’est cette qualité et celle aussi d’ancien chef d’état-major de l’ANP qui me désignent beaucoup plus qu’une autre, pour me prononcer sur les fâcheuses conséquences que pourrait avoir la décision du tribunal militaire d’Oran. Les délits, qualifiés d’«infraction aux consignes générales de l’armée», n’auraient jamais dû relever du domaine pénal ; ils devaient se limiter à l'aspect disciplinaire. L’infraction aux consignes générales de l’armée, portée dans le code de justice militaire, a été âprement discutée et contestée au sein de la commission ad hoc qui a eu à l’élaborer, en raison de son imprécision. Certains n’ont pas hésité à considérer cet article comme un chef d’accusation «fourre-tout», susceptible d’être opposé à quiconque.»
En mettant en cause, les articles et la méthode qui conduit à la condamnation du général Hassan, l'ex-ministre de la défense, Khaled Nezzar se pose la question « en cette période d’incertitudes, de savoir si le général Hassan n’a pas servi d’alibi aux «commandeurs» de cette mascarade. Traitée dans un climat serein, ce que l’on peut qualifier aujourd’hui «d’affaire Hassan» n’aurait jamais eu un tel retentissement. Le général Hassan méritait, tout au plus, une sanction militaire de quelques jours de forteresse. Le général de corps d’armée Mohamed Mediene, alors qu’il était encore en service, avait, à travers une correspondance adressée au président de la République, expliqué les tenants et les aboutissants de cette affaire. Il avait souligné qu’en tant que chef hiérarchique direct du général Hassan, il était responsable de tout ce qui pouvait être reproché à ce dernier et qu’en conséquence, il en assumait l’entière responsabilité. Il n’y a pas eu de réponse ce jour…», conclut l'ancien chef d'Etat Major.