Le comédien publie une autobiographie cette semaine intitulée Innocent, repérée par RTL. Dans ces écrits, l’acteur, désormais citoyen russe, met en garde contre l’interprétation des textes sacrés et l'»arrogance » de vouloir se placer « à la place de Dieu ».
Le comédien, désormais citoyen russe, rappelle qu’à son arrivée à Paris il s’est lui même converti à l’islam. Il met en garde contre « l’arrogance » de vouloir se placer « à la place de Dieu ».
« Le vrai danger, c’est quand l’homme avec toute son arrogance, sa perversité et son ignorance se met à interpréter les textes sacrés dans le seul but, pas forcément conscient, de se mettre à la place de Dieu », estime-t-il dans ce texte écrit avant les attentats du 13 novembre. « Là, commence la manipulation », ajoute l’acteur révélé en 1974 par le film Les Valseuses. Il rappelle qu’à son arrivée à Paris, en 1965, il s’est converti à l’islam. « J’ai fréquenté la mosquée pendant deux ans. Je faisais les cinq prières par jour ».
Or, « le vrai danger, ce n’est pas la foi, ça n’a jamais été la foi« , souligne-t-il dans son livre dont L’Express publie des extrais. « Il y a, bien sûr, les idéaux français, qui ont fait le tour du monde. Mais si on les regarde de près… La liberté, il n’y en a plus », estime Gérard Depardieu. « On nous la prend. Les gens sont manipulés, fliqués, on sait tout d’eux ».
« L’égalité a toujours été une utopie. La fraternité, ça j’y crois encore un peu (…) parce que je crois que l’homme est foncièrement bon. Même si à cause de l’esprit politique, il devient chaque jour un peu plus con« , poursuit-il.
Le comédien, désormais citoyen russe, rappelle qu’à son arrivée à Paris il s’est lui même converti à l’islam. Il met en garde contre « l’arrogance » de vouloir se placer « à la place de Dieu ».
« Le vrai danger, c’est quand l’homme avec toute son arrogance, sa perversité et son ignorance se met à interpréter les textes sacrés dans le seul but, pas forcément conscient, de se mettre à la place de Dieu », estime-t-il dans ce texte écrit avant les attentats du 13 novembre. « Là, commence la manipulation », ajoute l’acteur révélé en 1974 par le film Les Valseuses. Il rappelle qu’à son arrivée à Paris, en 1965, il s’est converti à l’islam. « J’ai fréquenté la mosquée pendant deux ans. Je faisais les cinq prières par jour ».
Or, « le vrai danger, ce n’est pas la foi, ça n’a jamais été la foi« , souligne-t-il dans son livre dont L’Express publie des extrais. « Il y a, bien sûr, les idéaux français, qui ont fait le tour du monde. Mais si on les regarde de près… La liberté, il n’y en a plus », estime Gérard Depardieu. « On nous la prend. Les gens sont manipulés, fliqués, on sait tout d’eux ».
« L’égalité a toujours été une utopie. La fraternité, ça j’y crois encore un peu (…) parce que je crois que l’homme est foncièrement bon. Même si à cause de l’esprit politique, il devient chaque jour un peu plus con« , poursuit-il.