Mohamed Aissa, le ministre des affaires religieuses et Wakfs, tire la sonnette d'alarme sur une drogue qui aurait été introduite en Algérie avec de grandes quantité, une drogue aux effets singuliers, fait des ravages. Très prisée dans le Gofle, la drogue sert désormais à financer la guerre.
Selon le ministre cité par le journal arabophone El Bilad, pendant son passage à une conférence organisé à Dar El Imam et destinée aux imams de la capitale, cette drogue fait tout oublier, La douleur, la peur, la fatigue, fabriquée dans des laboratoires d'un pays membre de l'OTAN et injectée en masse dans les pays «arabo-musulmans».
Le ministre algérien aurait voulu parler du Captagon, une petite pilule blanche à base d'amphétamine,qui est devenue en quelques mois le meilleur ami des combattants du groupe Etat islamique, en Syrie. Les djihadistes de Daech ne sont pour autant pas les seuls à avoir adopté cette "pilule miracle" désormais très prisée dans les pays du Golfe, les membres d'Al-Nosra et les soldats de l’Armée syrienne libre (ASL) en consomment ainsi également sur le front syrien.
nterrogé par Reuters, et relayé par L'Obs, un officier de la brigade des stupéfiants de Homs détaille lui l'attitude de prisonniers sous l'emprise de Captagon, pour le moins surprenante : "On les frappait et ils ne ressentaient pas la douleur. La plupart d'entre eux rigolaient alors qu'on les bourrait de coups."
Pour Khaled, une jeune de 19 ans, accro à cette drogue, les effets ne s'arrêtent pas là : "Tu oublies les gens, tu hallucines, tout va mieux, tu as énormément d'idées, tu réfléchis mieux. C'est comme si les gens n'existaient pas", explique-t-il au National.
Selon le ministre cité par le journal arabophone El Bilad, pendant son passage à une conférence organisé à Dar El Imam et destinée aux imams de la capitale, cette drogue fait tout oublier, La douleur, la peur, la fatigue, fabriquée dans des laboratoires d'un pays membre de l'OTAN et injectée en masse dans les pays «arabo-musulmans».
Le ministre algérien aurait voulu parler du Captagon, une petite pilule blanche à base d'amphétamine,qui est devenue en quelques mois le meilleur ami des combattants du groupe Etat islamique, en Syrie. Les djihadistes de Daech ne sont pour autant pas les seuls à avoir adopté cette "pilule miracle" désormais très prisée dans les pays du Golfe, les membres d'Al-Nosra et les soldats de l’Armée syrienne libre (ASL) en consomment ainsi également sur le front syrien.
nterrogé par Reuters, et relayé par L'Obs, un officier de la brigade des stupéfiants de Homs détaille lui l'attitude de prisonniers sous l'emprise de Captagon, pour le moins surprenante : "On les frappait et ils ne ressentaient pas la douleur. La plupart d'entre eux rigolaient alors qu'on les bourrait de coups."
Pour Khaled, une jeune de 19 ans, accro à cette drogue, les effets ne s'arrêtent pas là : "Tu oublies les gens, tu hallucines, tout va mieux, tu as énormément d'idées, tu réfléchis mieux. C'est comme si les gens n'existaient pas", explique-t-il au National.
Photo d'illustration :Montage de K.B pour Kabylie News, Tous droits réservés |