Le journaliste algérien Mohamed Sifaoui, en exil en France depuis une quinzaine d’années, s’en est pris au « voile » de Latifa ibn Ziaten, mère de Imad Ibn Ziaten, militaire français tué par Mohamed Merah en 2012.
Invité à une émission spéciale de la chaîne France 2 dédiée aux attentats de Paris, le journaliste s’est dit « quand même assez étonné que dans un pays où on a compris qu’il y a avait une guerre idéologique à mener, avec le respect que je dois à toutes les victimes du terrorisme, qu’on honore à ce point, une femme qui a perdu son fils mais qui porte le voile par ailleurs (…) », a déclaré le journaliste, avant d’être interrompu par le journaliste Julien Bugier pour lui signifier que c’était « un autre débat ».
« Ce n’est pas parce qu’une personne perd son fils, et il y en a beaucoup, des centaines de personnes, qu’on va la faire sortir de ses fourneaux pour en faire une égérie de la lutte antiterroriste », a-t-il ajouté, s’insurgeant contre « cette incohérence qui veut qu’on dise à des jeunes filles que le voile salit la féminité et qu’on leur introduise une personne voilée qui va leur enseigner les valeurs de la République ».
Invité à une émission spéciale de la chaîne France 2 dédiée aux attentats de Paris, le journaliste s’est dit « quand même assez étonné que dans un pays où on a compris qu’il y a avait une guerre idéologique à mener, avec le respect que je dois à toutes les victimes du terrorisme, qu’on honore à ce point, une femme qui a perdu son fils mais qui porte le voile par ailleurs (…) », a déclaré le journaliste, avant d’être interrompu par le journaliste Julien Bugier pour lui signifier que c’était « un autre débat ».
Cela n’a pas empêché Sifaoui de continuer sa diatribe anti-voile :
« Ce n’est pas parce qu’une personne perd son fils, et il y en a beaucoup, des centaines de personnes, qu’on va la faire sortir de ses fourneaux pour en faire une égérie de la lutte antiterroriste », a-t-il ajouté, s’insurgeant contre « cette incohérence qui veut qu’on dise à des jeunes filles que le voile salit la féminité et qu’on leur introduise une personne voilée qui va leur enseigner les valeurs de la République ».
Avec Biladi