François Hollande s'est exprimé face aux députés et aux sénateurs réunis en Congrès, lundi 16 novembre, depuis Versailles, près les attentats à Paris, qui ont fait 129 morts. En effet, le président français est revenu sur le courage des forces de l'ordre et des soignants lors des tragiques événements de vendredi 13 novembre. « Notre système de santé et de secours s'était préparé à une telle situation d'urgence, il a été remarquable », a loué François Hollande. « Je veux rendre hommage également aux forces de l'ordre, pleinement engagées pour assurer la sécurité des Français ».
« J'appelle tous les Français à faire une nouvelle fois la preuve de leurs vertus : la persévérance, l'unité et le sang-froid », a-t-il poursuivi, louant un « peuple français ardent, vaillant, qui ne se décourage jamais ». « La République est toujours là, bien vivante ».
François Hollande a annoncé la création de 5 000 emplois supplémentaires dans la police et la gendarmerie et de 2 500 dans la justice. Le Parlement sera saisi dès mercredi 18 novembre d'un projet de loi prolongeant l'état d'urgence pour trois mois, et la déchéance de la nationalité sera possible pour les citoyens binationaux.
Le président français a aussi évoque une évolution de la Constitution pour agir contre « le terrorisme de guerre », rappelant que la France est « en guerre contre le terrorisme djihadiste qui menace le monde entier ».
« J'appelle tous les Français à faire une nouvelle fois la preuve de leurs vertus : la persévérance, l'unité et le sang-froid », a-t-il poursuivi, louant un « peuple français ardent, vaillant, qui ne se décourage jamais ». « La République est toujours là, bien vivante ».
François Hollande a annoncé la création de 5 000 emplois supplémentaires dans la police et la gendarmerie et de 2 500 dans la justice. Le Parlement sera saisi dès mercredi 18 novembre d'un projet de loi prolongeant l'état d'urgence pour trois mois, et la déchéance de la nationalité sera possible pour les citoyens binationaux.
Le président français a aussi évoque une évolution de la Constitution pour agir contre « le terrorisme de guerre », rappelant que la France est « en guerre contre le terrorisme djihadiste qui menace le monde entier ».