La violence dans les écoles algérienne sévit encore causant des traumatismes chroniques aux élèves de bas âge. La petite Racha âgée de 13 ans est à son quatrième jour de Coma après avoir été violentée par un prof de maths. En effet, la petite élève diabétique était victime de violences physique et verbal ce qui lui a causé une hyperglycémie obligeant une hospitalisation urgente.
Par ailleurs, Madame la ministre de l’Education, remet sur le tapis l’épineux dossier de la violence dans le milieu scolaire. La commission mixte chargée d’établir des propositions pour lutter contre la violence en milieu scolaire a finalisé son rapport. Une séance d’évaluation du rapport est prévue demain à Alger lors d’une journée d’étude qui sera organisée en présence de la ministre.
Selon El Watan, la ministre de l’Education a annoncé qu’il «tendait à sécuriser les établissements éducatifs exposés à des agressions récurrentes et comptait ouvrir prochainement le dossier de recrutement d’agents de sécurité en coordination avec le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales». Au Conseil de la nation, Nouria Benghebrit a affirmé que l’école a le devoir de protéger l’élève. Le ministère s’emploie actuellement «à cibler les établissements dont l’environnement immédiat assiste à des agressions répétées.
La liste de ces établissements sera transmise aux services de sécurité spécialisés pour y renforcer leurs patrouilles», explique la ministre. Il est aussi question d’ouvrir le dossier de recrutement d’agents de sécurité notamment dans les primaire et ce en coordination avec le ministère de l’Intérieur. Autre mesure : la formation des fonctionnaires du secteur dans le domaine de la médiation et de la gestion des conflits ainsi que l’actualisation des textes régissant notamment les conseils de discipline.
De son côté, l’Organisation nationale des parents d’élève qui ont co-écrit le rapport en question conjointement avec les syndicats du secteur et le ministère de l’Education, propose de créer une cellule au collège et au lycée chargé de la vigilance, de la prévention et du contrôle, explique Mohamed Benchettarara de l’organisation. Elle est habilitée d’organiser des visites inopinées dans les établissements, les classes et même inspecter les cartables des élèves susceptibles d’être à l’origine des violences.
La cellule sera composée d’un chef de classe, un surveillant, un directeur, l’agent de sécurité et des membres de l’association des parents d’élèves. Cette cellule doit être en contacte avec les services de sécurités. Ces derniers doivent aussi, selon les propositions, organiser des patrouilles en civil. L’autre proposition est d’installer des caméras de surveillances devant les écoles en délimitant une zone de sécurité de 300 mètre au minimum où même les parents n’ont pas le droit d’accéder. Au primaire, outre les caméras et la zone de sécurité retenues aussi, les parents, explique Mohamed Benchettarara, seront obligatoirement appelés à récupérer leur enfants et l’enseignants a la même obligation d’accompagner l’élève à la sortie jusqu’aux parents.
Par ailleurs, Madame la ministre de l’Education, remet sur le tapis l’épineux dossier de la violence dans le milieu scolaire. La commission mixte chargée d’établir des propositions pour lutter contre la violence en milieu scolaire a finalisé son rapport. Une séance d’évaluation du rapport est prévue demain à Alger lors d’une journée d’étude qui sera organisée en présence de la ministre.
Selon El Watan, la ministre de l’Education a annoncé qu’il «tendait à sécuriser les établissements éducatifs exposés à des agressions récurrentes et comptait ouvrir prochainement le dossier de recrutement d’agents de sécurité en coordination avec le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales». Au Conseil de la nation, Nouria Benghebrit a affirmé que l’école a le devoir de protéger l’élève. Le ministère s’emploie actuellement «à cibler les établissements dont l’environnement immédiat assiste à des agressions répétées.
La liste de ces établissements sera transmise aux services de sécurité spécialisés pour y renforcer leurs patrouilles», explique la ministre. Il est aussi question d’ouvrir le dossier de recrutement d’agents de sécurité notamment dans les primaire et ce en coordination avec le ministère de l’Intérieur. Autre mesure : la formation des fonctionnaires du secteur dans le domaine de la médiation et de la gestion des conflits ainsi que l’actualisation des textes régissant notamment les conseils de discipline.
De son côté, l’Organisation nationale des parents d’élève qui ont co-écrit le rapport en question conjointement avec les syndicats du secteur et le ministère de l’Education, propose de créer une cellule au collège et au lycée chargé de la vigilance, de la prévention et du contrôle, explique Mohamed Benchettarara de l’organisation. Elle est habilitée d’organiser des visites inopinées dans les établissements, les classes et même inspecter les cartables des élèves susceptibles d’être à l’origine des violences.
La cellule sera composée d’un chef de classe, un surveillant, un directeur, l’agent de sécurité et des membres de l’association des parents d’élèves. Cette cellule doit être en contacte avec les services de sécurités. Ces derniers doivent aussi, selon les propositions, organiser des patrouilles en civil. L’autre proposition est d’installer des caméras de surveillances devant les écoles en délimitant une zone de sécurité de 300 mètre au minimum où même les parents n’ont pas le droit d’accéder. Au primaire, outre les caméras et la zone de sécurité retenues aussi, les parents, explique Mohamed Benchettarara, seront obligatoirement appelés à récupérer leur enfants et l’enseignants a la même obligation d’accompagner l’élève à la sortie jusqu’aux parents.