Le politologue Hasni Abidi analyse la demande d'audience signé par 19 personnalités algériennes dont des proches de Bouteflika et des anciens grand Moudjahid, comme une preuve irréfutable de la détérioration alarmante de la scène politique algérienne et la dangerosité de l'absence de communication entre le présidents et ses électeurs. La grande problématique du pouvoir actuellement selon cet expert est l'émergence d'une nouvelle conscience autre que celle promue par le régime en place.
Hasni Abidi, dans une interview accordée au journal arabophone El Khabar, n'écarte pas la thèse d'un coup d'état silencieux dont le président serait victime et ce ne sera qu'une confirmation dans le cas où la demande d'audience n'aura pas de réponse positive. Selon le politologue, le fonctionnement relativement normal n'est pas une preuve que Bouteflika gouverne car cette fonction est constitutionnellement celle du gouvernement.
L'expert qualifie la demande du Groupe des 19 et la réponse de l'entourage du président comme un signe d'une rupture avancée entre l'opposition et le pouvoir, dont le dialogue est devenu un luxe et non un détail quotidien avec l'absence de l’opposition dans le fonctionnement politique ce qui a poussé cette dernière à douter même de l’existence d'un système politique homogène qui gouverne le pays.
Hasni Abidi, dans une interview accordée au journal arabophone El Khabar, n'écarte pas la thèse d'un coup d'état silencieux dont le président serait victime et ce ne sera qu'une confirmation dans le cas où la demande d'audience n'aura pas de réponse positive. Selon le politologue, le fonctionnement relativement normal n'est pas une preuve que Bouteflika gouverne car cette fonction est constitutionnellement celle du gouvernement.
L'expert qualifie la demande du Groupe des 19 et la réponse de l'entourage du président comme un signe d'une rupture avancée entre l'opposition et le pouvoir, dont le dialogue est devenu un luxe et non un détail quotidien avec l'absence de l’opposition dans le fonctionnement politique ce qui a poussé cette dernière à douter même de l’existence d'un système politique homogène qui gouverne le pays.