Un commissaire principal, chef de l'Unité républicaine d'intervention rapide de la sûreté nationale, a été placé sous mandat de dépôt par le juge d'instruction. Six autres officiers dont deux commissaires ont été placés sous contrôle judiciaire pour des chefs d'accusation "d'atteinte à la sûreté de l'Etat, divulgation de secret d'Etat et d'incitation à émeutes" selon le quotidien arabophone El Khabar.
Les poursuites engagées contre ces officiers, souligne El Khabar, sont liées aux manifestations de rues organisées à Alger le 13 octobre 2014, par des éléments relevant de leur autorité. En effet, Des manifestations sans précédent où des policiers après un passage par le Palais du Gouvernement ont fini par camper aux abords de la présidence de la République. La contestation s'était étendue à d'autres wilayas dont Oran et Constantine.
Les officiers de police dont certains sont déjà en retraite, indique El Khabar, ont été présentés le 8 novembre devant le procureur près la cour de Mostaganem avant d'être entendus par le juge d'instruction.
El Khabar cite des "sources sûres" qui affirment que les "premiers agents des unités républicaines à avoir déposé les armes et être sortis dans les rues relèvent de l'unité de Mostaganem. Ces éléments qui avaient passé trois mois à Ghardaïa ont été transférés au Hamiz (Alger) sans bénéficier de congés pour rendre visite aux leurs. Leur grogne s’est étendue aux unités qui étaient basées à cette époque à Alger".
Pour rappel, les policiers avaient marché du Hamiz vers Alger et se sont rassemblés devant le Palais du gouvernement puis devant le siège de la présidence de la République. Outre des revendications socio-professionnelles, les policiers en colère avaient réclamé le départ du patron de la police, le général Abdelghani El Hamel.
Les poursuites engagées contre ces officiers, souligne El Khabar, sont liées aux manifestations de rues organisées à Alger le 13 octobre 2014, par des éléments relevant de leur autorité. En effet, Des manifestations sans précédent où des policiers après un passage par le Palais du Gouvernement ont fini par camper aux abords de la présidence de la République. La contestation s'était étendue à d'autres wilayas dont Oran et Constantine.
Les officiers de police dont certains sont déjà en retraite, indique El Khabar, ont été présentés le 8 novembre devant le procureur près la cour de Mostaganem avant d'être entendus par le juge d'instruction.
El Khabar cite des "sources sûres" qui affirment que les "premiers agents des unités républicaines à avoir déposé les armes et être sortis dans les rues relèvent de l'unité de Mostaganem. Ces éléments qui avaient passé trois mois à Ghardaïa ont été transférés au Hamiz (Alger) sans bénéficier de congés pour rendre visite aux leurs. Leur grogne s’est étendue aux unités qui étaient basées à cette époque à Alger".
Pour rappel, les policiers avaient marché du Hamiz vers Alger et se sont rassemblés devant le Palais du gouvernement puis devant le siège de la présidence de la République. Outre des revendications socio-professionnelles, les policiers en colère avaient réclamé le départ du patron de la police, le général Abdelghani El Hamel.