Idir a exprimé à mainte fois son refus de se produire en Algérie tant que Tamazight n'est pas officielle. « Je ne peux pas me produire en Algérie et alors que mon identité n’est pas officiellement reconnue ! », a déclaré le célèbre chanteur. « Je comprends que les miens veulent vraiment que je chante ici, et ce n’est pas l’envie qui me manque, mais pour moi, c’est un principe qui ne date pas d’aujourd’hui, c’est une vision. Je suis profondément blessé ! ».
Mais Hamid de son vrai prénom n'a pas pu résister en Kabylie devant les siens à At Yanni, sa région natale, où il a été honoré par la population qui voit en lui son ambassadeur qui a su représenter dignement la Kabylie et sa culture. Dès son arrivée à l’entrée du village Taourirt El Hadjadj, un cérémonial était organisé par les citoyens de la commune, à leur tête le président de l’APC, Smaïl Deghoul.
Des jeunes, des moins jeunes et même des femmes n’ont pas raté cette occasion de prendre des photos-souvenir avec l’auteur de la célèbre chanson A Vava Inouva.
Notons que cet hommage rendu à Idir entre dans le cadre de la 2e édition du festival Lumière sur le patrimoine historique et culturel de la Kabylie, organisé du 6 au 9 novembre dans les communes d’Ath Yenni, Akfadou et Ighil Ali.
Mokrane Gacem, l’un des initiateurs de ce festival, déclare que son objectif est de «déterrer une mémoire oubliée». «Nous allons sillonner les trois communes en question, et ce, avant de revenir à Beni Douala pour rendre aussi hommage à Matoub Lounès», a précisé M. Gacem. Par ailleurs, il est à signaler que les organisateurs de cet hommage ont concocté un programme aussi riche que varié.
Mais Hamid de son vrai prénom n'a pas pu résister en Kabylie devant les siens à At Yanni, sa région natale, où il a été honoré par la population qui voit en lui son ambassadeur qui a su représenter dignement la Kabylie et sa culture. Dès son arrivée à l’entrée du village Taourirt El Hadjadj, un cérémonial était organisé par les citoyens de la commune, à leur tête le président de l’APC, Smaïl Deghoul.
Des jeunes, des moins jeunes et même des femmes n’ont pas raté cette occasion de prendre des photos-souvenir avec l’auteur de la célèbre chanson A Vava Inouva.
Notons que cet hommage rendu à Idir entre dans le cadre de la 2e édition du festival Lumière sur le patrimoine historique et culturel de la Kabylie, organisé du 6 au 9 novembre dans les communes d’Ath Yenni, Akfadou et Ighil Ali.
Mokrane Gacem, l’un des initiateurs de ce festival, déclare que son objectif est de «déterrer une mémoire oubliée». «Nous allons sillonner les trois communes en question, et ce, avant de revenir à Beni Douala pour rendre aussi hommage à Matoub Lounès», a précisé M. Gacem. Par ailleurs, il est à signaler que les organisateurs de cet hommage ont concocté un programme aussi riche que varié.