Idir, un des piliers de la chanson Kabyle, qui a hissé la culture, la musique et la chanson Kabyle à l'universalité s'exprime sur le sujet qui anime le débat en Kabylie, son diaspora dans le monde entier, en Algérie toute entière et même au Maghreb, après l'intervention de la délégation marocaine à l'ONU qui en a profité pour répondre en défendant l’autodétermination de la Kabylie prônée par Ferhat Mehenni pour contrarier le plaidoyer de la délégation algérienne pour l'indépendance du Sahara Occidental.
Dans une interview sur Dzaier News que Kabylie News vous propose un passage dont la vidéo est ci-dessous sous-titrée en Arabe, Idir, se dit ne pas défendre l'indépendance de la Kabylie mais défendre le droit de Ferhat Mehenni à s'expliquer et militer pour son projet pacifiquement, avant de rajouter qu'il ne serait pas gêné de cette indépendance du moment qu'on a méprisé cette culture et cette région.
Idir défend ainsi le droit du leader des séparatistes Kabyles à la liberté d'expression et son droit au militantisme politique, et déplore le fait que l'Etat algérien marginalise la Kabylie, sa langue et sa culture et se dit victime en sacrifiant son droit de se produire en Algérie tant que Tamazight n'est pas officielle dans son pays en refusant à quiconque de lui insinuer de ne pas être ce qu'il est.
Idir finit par avouer qu'il sera pour le projet de Ferhat Mehenni et du MAK si d'un coté, prouvé viable pour la Kabylie et d'un autre coté; le pouvoir algérien continue à mépriser cette région et tout ce qu'elle incarne.
Dans une interview sur Dzaier News que Kabylie News vous propose un passage dont la vidéo est ci-dessous sous-titrée en Arabe, Idir, se dit ne pas défendre l'indépendance de la Kabylie mais défendre le droit de Ferhat Mehenni à s'expliquer et militer pour son projet pacifiquement, avant de rajouter qu'il ne serait pas gêné de cette indépendance du moment qu'on a méprisé cette culture et cette région.
Idir défend ainsi le droit du leader des séparatistes Kabyles à la liberté d'expression et son droit au militantisme politique, et déplore le fait que l'Etat algérien marginalise la Kabylie, sa langue et sa culture et se dit victime en sacrifiant son droit de se produire en Algérie tant que Tamazight n'est pas officielle dans son pays en refusant à quiconque de lui insinuer de ne pas être ce qu'il est.
Idir finit par avouer qu'il sera pour le projet de Ferhat Mehenni et du MAK si d'un coté, prouvé viable pour la Kabylie et d'un autre coté; le pouvoir algérien continue à mépriser cette région et tout ce qu'elle incarne.