Amar Saâdani, le secrétaire général du FLN a réagi à la demande de 19 personnalités d'auditionner Bouteflika pour vérifier si le président sait ou ne sait pas, selon le patron du FLN Louis Hanoune ayant demandé audience au président Abdelaziz Bouteflika. Il a estimé que la patronne du PT a « perdu son équilibre ».
Pour rappel, Khalida Toumi, Louiza Hannoune et dix-sept autres personnalité algérienne vient de rendre publique une lettre adressée à la présidence pour une demande d'audition du président de la république, Abdelaziz Bouteflika. En effet, La Présidence de la République n’a pas répondu aux auteurs de la lettre. Ces derniers ont décidé de rendre publique leur initiative, pour prendre l’opinion publique à témoin.
Les signataires de la lettre expliquent « À l’occasion de la commémoration du déclenchement de notre glorieuse guerre de Libération nationale, nous estimons qu’il est de notre devoir de patriotes algériens d’attirer votre haute attention sur la dégradation du climat général dans notre pays », selon eux, cette dégradation se caractérise par des faits. Ils citent « le renoncement à la souveraineté nationale (…) par notamment l’abandon du droit de préemption de l’État (…), la déliquescence des institutions de l’État, la grave dégradation de la situation économique et sociale, l’abandon des cadres algériens livrés à l’arbitraire, aux sanctions partiales (…) ».
Pour vérifier si Bouteflika est conscient : Khalida Toumi, Louiza Hannoune et dix-sept personnalité demandent... https://t.co/Q9gTKyAgrk— Kabylie News (@Kabylie_news) 6 Novembre 2015
Pour rappel, Khalida Toumi, Louiza Hannoune et dix-sept autres personnalité algérienne vient de rendre publique une lettre adressée à la présidence pour une demande d'audition du président de la république, Abdelaziz Bouteflika. En effet, La Présidence de la République n’a pas répondu aux auteurs de la lettre. Ces derniers ont décidé de rendre publique leur initiative, pour prendre l’opinion publique à témoin.
Les signataires de la lettre expliquent « À l’occasion de la commémoration du déclenchement de notre glorieuse guerre de Libération nationale, nous estimons qu’il est de notre devoir de patriotes algériens d’attirer votre haute attention sur la dégradation du climat général dans notre pays », selon eux, cette dégradation se caractérise par des faits. Ils citent « le renoncement à la souveraineté nationale (…) par notamment l’abandon du droit de préemption de l’État (…), la déliquescence des institutions de l’État, la grave dégradation de la situation économique et sociale, l’abandon des cadres algériens livrés à l’arbitraire, aux sanctions partiales (…) ».