Khalida Toumi, Louiza Hannoune et dix-sept autres personnalité algérienne vient de rendre publique une lettre adressée à la présidence pour une demande d'audition du président de la république, Abdelaziz Bouteflika. En effet, La Présidence de la République n’a pas répondu aux auteurs de la lettre. Ces derniers ont décidé de rendre publique leur initiative, pour prendre l’opinion publique à témoin.
Les signataires de la lettre expliquent « À l’occasion de la commémoration du déclenchement de notre glorieuse guerre de Libération nationale, nous estimons qu’il est de notre devoir de patriotes algériens d’attirer votre haute attention sur la dégradation du climat général dans notre pays », selon eux, cette dégradation se caractérise par des faits. Ils citent « le renoncement à la souveraineté nationale (…) par notamment l’abandon du droit de préemption de l’État (…), la déliquescence des institutions de l’État, la grave dégradation de la situation économique et sociale, l’abandon des cadres algériens livrés à l’arbitraire, aux sanctions partiales (…) ».
Ce vendredi, la patronne du PT a expliqué la démarche des signataires de la lettre. Louisa Hanoune explique au nom des dix-neuf personnalités signataires dont Khalida Toumi, Zohra Drif Bitat, Lakhdar Bouragraa et Rachid Boudjedra la décision de publier la lettre adressée au Président le 1er novembre. « Les portes sont actuellement fermées », a déploré Mme Hanoune.Le Président n’est-il pas également responsable de la situation politique, économique et sociale du pays ? « Nous voulons avoir le cœur nette ! Nous voulons savoir s’il sait ou s’il ne sait pas. S’il est au courant, c’est une chose. S’il ne l’est pas, c’en est une autre », a-t-elle répondu.
La lettre a été signée par 19 personnalités dont Louisa Hanoune, Khalida Toumi (ancienne ministre de la Culture), Abdelhamid Aberkane (ancien ministre de la Santé), Zohra Drif Bitat, Lakhdar Bouragâa, Rachid Boudjedra, Fatiha Mentouri (ancienne ministre), Nouredine Benissad et Boudjemaa Ghechir.
Les signataires de la lettre expliquent « À l’occasion de la commémoration du déclenchement de notre glorieuse guerre de Libération nationale, nous estimons qu’il est de notre devoir de patriotes algériens d’attirer votre haute attention sur la dégradation du climat général dans notre pays », selon eux, cette dégradation se caractérise par des faits. Ils citent « le renoncement à la souveraineté nationale (…) par notamment l’abandon du droit de préemption de l’État (…), la déliquescence des institutions de l’État, la grave dégradation de la situation économique et sociale, l’abandon des cadres algériens livrés à l’arbitraire, aux sanctions partiales (…) ».
Ce vendredi, la patronne du PT a expliqué la démarche des signataires de la lettre. Louisa Hanoune explique au nom des dix-neuf personnalités signataires dont Khalida Toumi, Zohra Drif Bitat, Lakhdar Bouragraa et Rachid Boudjedra la décision de publier la lettre adressée au Président le 1er novembre. « Les portes sont actuellement fermées », a déploré Mme Hanoune.Le Président n’est-il pas également responsable de la situation politique, économique et sociale du pays ? « Nous voulons avoir le cœur nette ! Nous voulons savoir s’il sait ou s’il ne sait pas. S’il est au courant, c’est une chose. S’il ne l’est pas, c’en est une autre », a-t-elle répondu.
La lettre a été signée par 19 personnalités dont Louisa Hanoune, Khalida Toumi (ancienne ministre de la Culture), Abdelhamid Aberkane (ancien ministre de la Santé), Zohra Drif Bitat, Lakhdar Bouragâa, Rachid Boudjedra, Fatiha Mentouri (ancienne ministre), Nouredine Benissad et Boudjemaa Ghechir.