Le Maroc est déterminé à répondre au soutient de l'Algérie à l'indépendance du Sahara occidental en soutenant ouvertement l'autodétermination de la Kabylie prôné par le GPK-MAK fondés par Ferhat Mehenni. En effet, après les propos Abderrazzak Laassel à l’occasion de la commémoration du 70ème anniversaire de la création des Nations Unies, voilà le tour d'un autre membre de la mission permanente du royaume à New York de prendre le relais.
« La communauté internationale doit faire émerger les voix de plus de huit millions de Kabyles trop longtemps maintenus dans le silence et dans l’invisibilité. C’est ainsi que s’effondrera le mur de l’intolérance à leur égard et du déni de leurs aspirations légitimes », a souligné le diplomate Omar Rabi à l’occasion des travaux de la 3ème commission de l’ONU. Une instance qui traite justement des questions relatives à la protection des populations autochtones et au droit à l'autodétermination.
Selon Rabi au nom de la délégation marocaine « Le peuple Kabyle doit être entendu et écouté pour la reconnaissance de ses besoins et de ses attentes (…) La communauté internationale a le devoir de l’accompagner pour qu’il puisse jouir de ses droits légitimes à l’autodétermination et à l’autonomie » avant d'ajouter « ses leaders sont arrêtés et pourchassés, même lorsqu’ils subissent déjà les affres de l’exil forcé. Même les membres de leurs familles ne sont pas épargnés. Ils sont également violemment persécutés ».
L'agence d'information affiliée au gouvernement provisoire Kabyle Siwel se demande même, si le Maroc a l'intention de reconnaître le GPK créé et présidé par Ferhat Mehenni à l'exil.
« La communauté internationale doit faire émerger les voix de plus de huit millions de Kabyles trop longtemps maintenus dans le silence et dans l’invisibilité. C’est ainsi que s’effondrera le mur de l’intolérance à leur égard et du déni de leurs aspirations légitimes », a souligné le diplomate Omar Rabi à l’occasion des travaux de la 3ème commission de l’ONU. Une instance qui traite justement des questions relatives à la protection des populations autochtones et au droit à l'autodétermination.
Selon Rabi au nom de la délégation marocaine « Le peuple Kabyle doit être entendu et écouté pour la reconnaissance de ses besoins et de ses attentes (…) La communauté internationale a le devoir de l’accompagner pour qu’il puisse jouir de ses droits légitimes à l’autodétermination et à l’autonomie » avant d'ajouter « ses leaders sont arrêtés et pourchassés, même lorsqu’ils subissent déjà les affres de l’exil forcé. Même les membres de leurs familles ne sont pas épargnés. Ils sont également violemment persécutés ».
L'agence d'information affiliée au gouvernement provisoire Kabyle Siwel se demande même, si le Maroc a l'intention de reconnaître le GPK créé et présidé par Ferhat Mehenni à l'exil.