L’édition 2015 du classement «Choiseul 100 Africa - Les leaders économiques de demain », réalisé par l’Institut Choiseul, un think-tank basé à Paris met la lumière sur le manque de managers jeunes algériens mais aussi sur la défaillance du système de formation en Algérie et la chance des jeunes talents pour s'illustrer . Sur les 100 jeunes dirigeants africains de 40 ans et moins, appelés à jouer un rôle majeur dans le développement économique du continent dans un avenir proche, seuls 6 Algériens y figurent. Avec 6% seulement de l’ensemble des jeunes dirigeants africains de 40 ans et moins, l’Algérie arrive loin derrière le Maroc, le Nigeria et le Kenya qui dominent ce classement repéré par le quotidien reporters.
C’est le directeur général de NCA-Rouiba, Sahbi Othmani (36 ans), qui occupe la première place parmi les Algériens, arrivant à la 32e place du classement global. Connu par ses interventions dans les forums et rencontres économiques, il a réussi à se faire une place parmi les personnalités économiques du pays. Le deuxième Algérien classé n’est autre que le fils du parton du groupe Cevital Issad Rebrab, occupant le poste de directeur général de la filiale Numidis, spécialisée dans la grande distribution. Ainsi, Salim Rebrab (38 ans) se classe 41e en Afrique. Suivant les traces de son père, le jeune manager donne des signes d’une personnalité économique prometteuse. La troisième jeune personnalité économique est Sami Mainich assurant le poste de directeur général de Maghreb Dow Chemical, une entreprise qui intervient dans l’importation et l’exportation de produits chimiques. Agé de 39 ans, Mainich se classe 47e. Méconnu des médias et du grand public, ce jeune manager perce loin des regards. Par contre, la quatrième place a été attribuée à Samir Karoum, agé de 38. Diplômé de l’ESTP de Paris, il occupe actuellement le poste de vice-président Grands Projets Alstom Moyen-Orient et Afrique. Dans le classement global, il arrive 56e. La 5e place, quant à elle, a été décernée à Adnane Oussidhoum, directeur général Avendis Group opérant essentiellement dans le commerce de gros et intermédiaires du commerce. Agé de 38 ans, Oussidhoum arrache la 67e place dans le classement général. Le dernier Algérien classé dans le top des 100 jeunes managers africains est Adelane Mecellem qui occupe la fonction de président-directeur général AXA Assurance Algérie. Une compagnie française intervenant dans les assurances récemment implantée en Algérie. Lui aussi âgé de 38 ans, il se classe 78e.
L’un des faits marquants dans le choix de ces personnes est que toutes ont fait au moins une partie de leurs études à l’étranger. Aucun de ces six jeunes managers n’est un pur produit du système de formation algérien. Seul Adelane Mecellem a fait une partie de ses études à l’Ecole polytechnique d’Alger avant de rejoindre l’Ecole polytechnique de Paris. Par exemple, le directeur général NCA-Rouiba, Sahbi Othmani, a fait ses études à l’ESC Tunis avant de rejoindre l’EDHEC de Nice. De son côté, Salim Rebrab est diplômé de l’EMBA et de l’ECPM Strasbourg (France). Pareil pour Sami Mainich qui a fait ses études à l’ESTP de Paris. Pour sa part, Adnane Oussidhoum fait partie des diplômés de l’IAE deToulouse. Fruit d’un travail mené sur plusieurs mois, l’Institut Choiseul a fait appel à de nombreux experts et spécialistes du continent pour réaliser cette étude ambitieuse et unique en son genre qui dresse un état des lieux des forces vives de l’économie africaine.
Afin de classer les profils retenus, plusieurs critères pondérés ont été pris en compte tels que l’image et la réputation, le parcours et les compétences, le pouvoir et la fonction, l’influence et les réseaux, le potentiel et le leadership. La somme des points obtenus dans les différentes catégories de critères précitées détermine la place de chacun des lauréats dans le classement final. Les profils ayant obtenu moins de 10% dans l’une des catégories sont éliminés.
C’est le directeur général de NCA-Rouiba, Sahbi Othmani (36 ans), qui occupe la première place parmi les Algériens, arrivant à la 32e place du classement global. Connu par ses interventions dans les forums et rencontres économiques, il a réussi à se faire une place parmi les personnalités économiques du pays. Le deuxième Algérien classé n’est autre que le fils du parton du groupe Cevital Issad Rebrab, occupant le poste de directeur général de la filiale Numidis, spécialisée dans la grande distribution. Ainsi, Salim Rebrab (38 ans) se classe 41e en Afrique. Suivant les traces de son père, le jeune manager donne des signes d’une personnalité économique prometteuse. La troisième jeune personnalité économique est Sami Mainich assurant le poste de directeur général de Maghreb Dow Chemical, une entreprise qui intervient dans l’importation et l’exportation de produits chimiques. Agé de 39 ans, Mainich se classe 47e. Méconnu des médias et du grand public, ce jeune manager perce loin des regards. Par contre, la quatrième place a été attribuée à Samir Karoum, agé de 38. Diplômé de l’ESTP de Paris, il occupe actuellement le poste de vice-président Grands Projets Alstom Moyen-Orient et Afrique. Dans le classement global, il arrive 56e. La 5e place, quant à elle, a été décernée à Adnane Oussidhoum, directeur général Avendis Group opérant essentiellement dans le commerce de gros et intermédiaires du commerce. Agé de 38 ans, Oussidhoum arrache la 67e place dans le classement général. Le dernier Algérien classé dans le top des 100 jeunes managers africains est Adelane Mecellem qui occupe la fonction de président-directeur général AXA Assurance Algérie. Une compagnie française intervenant dans les assurances récemment implantée en Algérie. Lui aussi âgé de 38 ans, il se classe 78e.
L’un des faits marquants dans le choix de ces personnes est que toutes ont fait au moins une partie de leurs études à l’étranger. Aucun de ces six jeunes managers n’est un pur produit du système de formation algérien. Seul Adelane Mecellem a fait une partie de ses études à l’Ecole polytechnique d’Alger avant de rejoindre l’Ecole polytechnique de Paris. Par exemple, le directeur général NCA-Rouiba, Sahbi Othmani, a fait ses études à l’ESC Tunis avant de rejoindre l’EDHEC de Nice. De son côté, Salim Rebrab est diplômé de l’EMBA et de l’ECPM Strasbourg (France). Pareil pour Sami Mainich qui a fait ses études à l’ESTP de Paris. Pour sa part, Adnane Oussidhoum fait partie des diplômés de l’IAE deToulouse. Fruit d’un travail mené sur plusieurs mois, l’Institut Choiseul a fait appel à de nombreux experts et spécialistes du continent pour réaliser cette étude ambitieuse et unique en son genre qui dresse un état des lieux des forces vives de l’économie africaine.
Afin de classer les profils retenus, plusieurs critères pondérés ont été pris en compte tels que l’image et la réputation, le parcours et les compétences, le pouvoir et la fonction, l’influence et les réseaux, le potentiel et le leadership. La somme des points obtenus dans les différentes catégories de critères précitées détermine la place de chacun des lauréats dans le classement final. Les profils ayant obtenu moins de 10% dans l’une des catégories sont éliminés.