Le ministre des affaire religieuses et des Waqfs était l'invité du forum liberté où il est revenu sur plusieurs sujets. En effet, les sectes et religions minoritaire ainsi que leurs droits et les enjeux géopolitiques liés semblent préoccuper l'opinion publique. Questionné sur le courant salafiste en Algérie, le ministre a indiqué que la salafité «n'est pas un problème, car il a des références algériennes, dévoué à sa nation et à sa patrie».
«Ce qui n'est pas accepté, c'est le courant salafiste. Le salafisme c'est la doctrine, la politique (usage de la religion à des fins politiques) et l'idéologie, qui se met au service d'agenda externes pour casser le choix du malékite en Algérie en vue de nous imposer une façon de vivre» explique le ministre dont les propos rapportés par l'APS.
S'agissant du prosélytisme chrétien en Kabylie, M. Aissa a indiqué que le "vrai" prosélytisme se pratique dans les frontières Sud du pays ainsi que celles Est et Ouest dans un souci de "soustraire à l'Algérie une partie de son autorité sous l'appellation de minorités religieuses".
«Notre problème n'est pas la chrétienté mais le prosélytisme qui est diligenté par des officines qui siègent à l'étranger et ayant des relais en Algérie», a-t-il expliqué.
«Ce qui n'est pas accepté, c'est le courant salafiste. Le salafisme c'est la doctrine, la politique (usage de la religion à des fins politiques) et l'idéologie, qui se met au service d'agenda externes pour casser le choix du malékite en Algérie en vue de nous imposer une façon de vivre» explique le ministre dont les propos rapportés par l'APS.
S'agissant du prosélytisme chrétien en Kabylie, M. Aissa a indiqué que le "vrai" prosélytisme se pratique dans les frontières Sud du pays ainsi que celles Est et Ouest dans un souci de "soustraire à l'Algérie une partie de son autorité sous l'appellation de minorités religieuses".
«Notre problème n'est pas la chrétienté mais le prosélytisme qui est diligenté par des officines qui siègent à l'étranger et ayant des relais en Algérie», a-t-il expliqué.