La succession de Bouteflika refait surface sur la presse algérienne et les analyses se multiplient, entre ceux qui parlent d'un pouvoir héréditaire, d'autres qui supposent une préparation d'un homme politique de l’intérieur, déjà proche du «clan» le plus fort, mais le quotidien francophone El Watan va plus loin en parlant de possibles ambitions du chef d'état major Gaid Saleh à la présidence.
Selon ledit journal «Certains acteurs politiques prêtent à Gaïd Salah l’intention de briguer la magistrature suprême.» après la récente série de changements institutionnels qu’a connue le pays tendent à accroître le pouvoir de l’état-major de l’armée et de l’homme qui l’incarne.
Désormais la règle du le retour du point départ ne quitte pas l'esprit en Algérie, où l'armée qui nomme les président mais cette fois-ci selon la même analyse paru sur El Watan, l'Etat major de l'armée aura tout le pouvoir qui ne sera contesté par aucun rapport de force «C’est la première fois au moins depuis un quart de siècle que l’état-major de l’armée retrouve toute sa puissance sans que ne soit disputé et/ou contestée l’autorité. Le général Toufik, qui avait réussi à faire du DRS un pôle hégémonique avec une capacité de contrôle et de soumission sur l’essentiel des segments de la société, a longtemps fait de l’ombre à l’état-major pourtant sous sa coupe. Les deux blocs ont toujours fonctionné selon la stratégie de l’équilibre de la terreur, qui a été poussé à son paroxysme au lendemain de l’élection présidentielle d’avril 2014.»
Lire l'intégralité de l'Analyse sur El Watan Ici
Selon ledit journal «Certains acteurs politiques prêtent à Gaïd Salah l’intention de briguer la magistrature suprême.» après la récente série de changements institutionnels qu’a connue le pays tendent à accroître le pouvoir de l’état-major de l’armée et de l’homme qui l’incarne.
Désormais la règle du le retour du point départ ne quitte pas l'esprit en Algérie, où l'armée qui nomme les président mais cette fois-ci selon la même analyse paru sur El Watan, l'Etat major de l'armée aura tout le pouvoir qui ne sera contesté par aucun rapport de force «C’est la première fois au moins depuis un quart de siècle que l’état-major de l’armée retrouve toute sa puissance sans que ne soit disputé et/ou contestée l’autorité. Le général Toufik, qui avait réussi à faire du DRS un pôle hégémonique avec une capacité de contrôle et de soumission sur l’essentiel des segments de la société, a longtemps fait de l’ombre à l’état-major pourtant sous sa coupe. Les deux blocs ont toujours fonctionné selon la stratégie de l’équilibre de la terreur, qui a été poussé à son paroxysme au lendemain de l’élection présidentielle d’avril 2014.»
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