Un autre blocage, issu de la politique du verrou des libertés associatives, vient d'être discerné par la douane algérienne à l'insu, non seulement, de l'association des Algériens des deux rives et leurs Amis (ADRA), mais aussi de celle du ministère de la culture qui a autorisé cette association à importer 2000 livres pour prémunir avec une bibliothèque communale de Béjaia. A dire que même l'autorisation du ministère ne passe pas. Cependant, un communiqué de l'association sanctionne sévèrement ce blocage.
Un quota intéressant de livres est otage de la douane, sous le silence totale des autorités concernées. Et malgré le fournissement de "tous les documents administratifs et douaniers exigés par l’administration" note ledit communiqué, toutefois, la non-délivrance de ces biens est toujours retenue par la douane. Du coup, l'association redoute le "mépris et l'ignorance de l’administration Algérienne" qui revient à maintes reprises, du tant qu'ADRA ignore "les raisons" qui justifient l'acte de la douane.
Le blocage de ces livres, même avec la permission du ministère de la culture, intrigue l'association et pousse bien à s'interroger sur la nature de cet acte. Pourtant, un livre sert à instruire la société, et ne représente aucun danger pour l'intégrité nationale, et ne menace en aucun cas la sécurité de l'Etat ! L'autre problème que pourrait subir l'association, serait "la taxation du magasinage" nous confie Yougourten Ayad, président de l'ADRA, puisque cela fait un mois environs que les 2000 livres sont bloqués par la douane algérienne, pourtant, et selon la même source, l'Association Soummam Eco-Culture, qui se chargera de mettre en place la salle de bibliothèque, se sont vu rejetés "6 fois" par la douane, les invitant à revenir ultérieurement. "6 fois en faisons à chaque fois 300 km avec location de fourgon et la disponibilités de membres, ils prennes des jours de congés pour ça" rajoute Yougourten Ayad, avant de continuer que "cette situation est de tant plus insupportable mais aussi très onéreuse à savoir que l’association locale avec ses membres se sont déplacés 6 fois".
Il convient, de ce fait, de rajouter que ce blocage vient combler la bureaucratie et les facteurs allant à contre-développement que subissent les associations -qui n'entrent pas dans la ligne des administrateurs-. Et que ce genre de chantage administratif ne vise, dans la majorité des cas, qu'à mettre un bâton dans les roues des activistes du mouvement associatif, et encourage la société à se garder dans l'inerte incapacité de s'instruire.
Et puis, dans cette optique, il est impératif de signaler les exemples des associations qui se désistent du terrain, à force d'être découragées de se voir ôter toute liberté d'activité.
Un quota intéressant de livres est otage de la douane, sous le silence totale des autorités concernées. Et malgré le fournissement de "tous les documents administratifs et douaniers exigés par l’administration" note ledit communiqué, toutefois, la non-délivrance de ces biens est toujours retenue par la douane. Du coup, l'association redoute le "mépris et l'ignorance de l’administration Algérienne" qui revient à maintes reprises, du tant qu'ADRA ignore "les raisons" qui justifient l'acte de la douane.
Le blocage de ces livres, même avec la permission du ministère de la culture, intrigue l'association et pousse bien à s'interroger sur la nature de cet acte. Pourtant, un livre sert à instruire la société, et ne représente aucun danger pour l'intégrité nationale, et ne menace en aucun cas la sécurité de l'Etat ! L'autre problème que pourrait subir l'association, serait "la taxation du magasinage" nous confie Yougourten Ayad, président de l'ADRA, puisque cela fait un mois environs que les 2000 livres sont bloqués par la douane algérienne, pourtant, et selon la même source, l'Association Soummam Eco-Culture, qui se chargera de mettre en place la salle de bibliothèque, se sont vu rejetés "6 fois" par la douane, les invitant à revenir ultérieurement. "6 fois en faisons à chaque fois 300 km avec location de fourgon et la disponibilités de membres, ils prennes des jours de congés pour ça" rajoute Yougourten Ayad, avant de continuer que "cette situation est de tant plus insupportable mais aussi très onéreuse à savoir que l’association locale avec ses membres se sont déplacés 6 fois".
Il convient, de ce fait, de rajouter que ce blocage vient combler la bureaucratie et les facteurs allant à contre-développement que subissent les associations -qui n'entrent pas dans la ligne des administrateurs-. Et que ce genre de chantage administratif ne vise, dans la majorité des cas, qu'à mettre un bâton dans les roues des activistes du mouvement associatif, et encourage la société à se garder dans l'inerte incapacité de s'instruire.
Et puis, dans cette optique, il est impératif de signaler les exemples des associations qui se désistent du terrain, à force d'être découragées de se voir ôter toute liberté d'activité.