Le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA) et ex-ministre du Commerce, Amara Benyounès, n'a pas écarté vendredi à Béjaïa l’hypothèse d’une "influence négative" de certains lobbies gravitant autour du commerce extérieur pour expliquer son départ du gouvernement.
Intervenant à l’occasion de l’ouverture de l’Université d’été de son parti, dans la ville balnéaire de Tichy, à 15 km à l’Est de Béjaïa, M. Benyounès a tenu à lever les équivoques ayant entouré son départ du gouvernement en juillet dernier, assurant qu’aucune "pression" n’a été exercée sur sa personne ou "immixtion" enregistrée dans la gestion des affaires de son département ministériel.
"J’ai été nommé sur un coup de fil et j’ai été écarté sur un autre", a-t-il déclaré un tantinet philosophe, sans exclure l’hypothèse d’une "influence négative" de certains lobbies qui gravitent autour du commerce extérieur pour expliquer son départ. A ce titre, il a tenu à évoquer les dossiers à polémique, notamment celui inhérent à la libéralisation du commerce de gros de l’alcool, celui relatif à l’importation de véhicules et celui concernant le ciment, indiquant qu’à chaque fois, sa motivation principale tenait dans le souci de "réorganiser les marchés, protéger l’économie nationale et faire respecter les lois de la République".
Le patron du MPA n’a pas manqué dans ce contexte, de faire un point sur le bilan du ministère sous sa direction, jugé du reste "positif" et de souligner par ailleurs l’intérêt qu'a l’Algérie à adhérer à l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
Amara Benyounès a, par ailleurs, réaffirmé son soutien "inconditionnel" au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ajoutant que son départ du gouvernement n’est pas de nature à le détourner de ses principes. "Je voudrais insister sur une chose : le soutien total et sans conditions au président de la République. Nous l’avons soutenu avant notre arrivée au gouvernement, pendant et nous le soutenons après", a-t-il martelé, expliquant que cette démarche est une question de principe.
APS
Intervenant à l’occasion de l’ouverture de l’Université d’été de son parti, dans la ville balnéaire de Tichy, à 15 km à l’Est de Béjaïa, M. Benyounès a tenu à lever les équivoques ayant entouré son départ du gouvernement en juillet dernier, assurant qu’aucune "pression" n’a été exercée sur sa personne ou "immixtion" enregistrée dans la gestion des affaires de son département ministériel.
"J’ai été nommé sur un coup de fil et j’ai été écarté sur un autre", a-t-il déclaré un tantinet philosophe, sans exclure l’hypothèse d’une "influence négative" de certains lobbies qui gravitent autour du commerce extérieur pour expliquer son départ. A ce titre, il a tenu à évoquer les dossiers à polémique, notamment celui inhérent à la libéralisation du commerce de gros de l’alcool, celui relatif à l’importation de véhicules et celui concernant le ciment, indiquant qu’à chaque fois, sa motivation principale tenait dans le souci de "réorganiser les marchés, protéger l’économie nationale et faire respecter les lois de la République".
Soutien "inconditionnel" au président Bouteflika
Le patron du MPA n’a pas manqué dans ce contexte, de faire un point sur le bilan du ministère sous sa direction, jugé du reste "positif" et de souligner par ailleurs l’intérêt qu'a l’Algérie à adhérer à l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
Amara Benyounès a, par ailleurs, réaffirmé son soutien "inconditionnel" au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ajoutant que son départ du gouvernement n’est pas de nature à le détourner de ses principes. "Je voudrais insister sur une chose : le soutien total et sans conditions au président de la République. Nous l’avons soutenu avant notre arrivée au gouvernement, pendant et nous le soutenons après", a-t-il martelé, expliquant que cette démarche est une question de principe.
APS