Arrêtés par les services de sécurité au début de la semaine écoulée, alors qu’ils s’apprêtaient à reprendre le chemin du djihad islamiste, deux jeunes repentis devront comparaître demain, dimanche 27 septembre, devant le parquet d’Akbou pour « tentative d’adhésion à un groupe terroriste armé », apprend-on de Reporters citant une source sécuritaire. Les deux mis en cause, précise-t-on, ont été interpellés par les éléments de la Brigade de recherches et d’investigations (BRI) relevant de la Sûreté de wilaya de Béjaïa, au moment où ils allaient prendre place dans un bus stationné au centre-ville de Tazmalt et assurant la desserte Béjaïa-Alger.
Selon la même source, les deux anciens éléments de l’ex-GSPC (Groupe salafiste pour la prédication et le combat) étaient sur le point de remonter aux maquis de Boumerdès. A noter que l’un d’eux est originaire de la commune de Souk El Ténine (wilaya de Béjaïa), alors que son acolyte est natif de la localité d’El Mehir (wilaya de Bordj Bou Arréridj), mais habitant le village de Béni Mansour, relevant de la commune de Boudjellil, dans la daïra de Tazmalt.
Pour rappel, ces deux anciens terroristes islamistes avaient bénéficié, au début des années 2000, des dispositions de la loi sur la Concorde civile, instituée par le président Bouteflika.
Selon la même source, les deux anciens éléments de l’ex-GSPC (Groupe salafiste pour la prédication et le combat) étaient sur le point de remonter aux maquis de Boumerdès. A noter que l’un d’eux est originaire de la commune de Souk El Ténine (wilaya de Béjaïa), alors que son acolyte est natif de la localité d’El Mehir (wilaya de Bordj Bou Arréridj), mais habitant le village de Béni Mansour, relevant de la commune de Boudjellil, dans la daïra de Tazmalt.
Pour rappel, ces deux anciens terroristes islamistes avaient bénéficié, au début des années 2000, des dispositions de la loi sur la Concorde civile, instituée par le président Bouteflika.