Après les habits, chez nous même les démarches pour poursuivre les études en France sont devenus une mode, c'est presque tout le monde qui font les démarches dans les deux universités de Abderrahmane Mira de Bejaia et de Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, les étudiants désespérés du niveau des études et de l'avenir du pays, préfèrent prendre le risque et poursuivre leurs études en France, ce pays qui n'offre pas pourtant des contrats de travail pour le changement de situation pour les algériens, mais c'est devenu une mode.
La quasi-totalité des étudiants Algériens qui ont fait leur démarches pour poursuivre leurs études en France ont eu leurs visas, et le remarquable c'est que le quasi-totalité de ces étudiants sont de Bejaia et de Tizi Ouzou, certes que y en a des étudiants qui optent pour un avenir mieux et qui ont les moyens financiers pour réaliser leurs vœux, mais la majorité suivent le courant et se trouvent dans des situation critiques parfois en France, ou ils se trouvent obligés de bloquer leurs années pour travailler, les étudiants de ces deux wilayas aussi de Kabylie paralysent chaque année leurs universités pour améliorer la situation de l'université Algérienne, mais se trouvent seuls dans ces grèves qui ont pour but, évoluer l'université Algérienne qui se trouve parmi les dernières universités dans le monde.
Les étudiants qui partent aussi se trouvent dans des situations sinistres à la fin de leurs études, la majorités sont obligés de s'inscrire chaque année dans des masters différents pour assurer leurs cartes de séjour, d'autres vivent en noir, et une minorité changent leurs situations avec des moyens différents.
Les étudiants de ces deux universités ne doivent pas se précipiter à abandonner leurs parcours ici pour se trouver dans des situations délicates en France, et les enseignants et administrateurs doivent faire leurs efforts pour assurer le bon avenir de ces cerveaux s'ils veulent que cette mode cesse...