S'en passant de la communication institutionnelle, des ministères du gouvernement algérien se mettent à l'heure des réseaux sociaux, et songent à toucher le maximum de diffusion de leurs communications, en investissant dans cette nouvelle technique de communication.
Ce réglage d'horloge a commencé lorsque la ministre de l'éducation nationale, Nouria Benghebrit, a investi dans les réseaux sociaux, tel que Facebook et Youtube. Constatant l'efficacité de cette technique de communication, d'autres ministères du même gouvernement commencent, notamment, à comprendre l'atout réel dont disposent les nouveaux moyens de télécommunication.
Aujourd'hui, c'est le ministère de l'agriculture et de la pêche qui a décidé de s'investir dans le réseau social le plus populaire qui est Facebook, afin de faire parvenir ses communications à tout citoyens concerné par ce secteur, notamment "L'homme de la terre" a-t-il préconisé d'une rhétorique qui se mettra à l'épreuve prochainement par son passage à l'heure des nouvelles technologies.
Par ailleurs, il a suffit de peu de jours pour que le ministre de la communication, entre-outre Hamid Grine, suive le chemin de ses collègues du gouvernement, pour ouvrir un compte, cette fois-ci, sur Twitter. Sauf que l'efficacité n'est pour le moment pas approuvée, puisque leurs pages sont désertées par les internautes, pour le simple fait qu'elle n'aient contenus pour le moment aucune communication.
Cependant, une intrigue qui convient d'être partagée nous vient à l'esprit : Cette dynamique d'investissement vaudrait-elle dire que le gouvernement veut s'adapter avec les enjeux des nouvelles technologies ? Ou ne serait-ce qu'un semblant d'enthousiasme nourrit de démagogie et de manque de bonne foi que sont en train de nous livrer nos ministres ?
Ce réglage d'horloge a commencé lorsque la ministre de l'éducation nationale, Nouria Benghebrit, a investi dans les réseaux sociaux, tel que Facebook et Youtube. Constatant l'efficacité de cette technique de communication, d'autres ministères du même gouvernement commencent, notamment, à comprendre l'atout réel dont disposent les nouveaux moyens de télécommunication.
Aujourd'hui, c'est le ministère de l'agriculture et de la pêche qui a décidé de s'investir dans le réseau social le plus populaire qui est Facebook, afin de faire parvenir ses communications à tout citoyens concerné par ce secteur, notamment "L'homme de la terre" a-t-il préconisé d'une rhétorique qui se mettra à l'épreuve prochainement par son passage à l'heure des nouvelles technologies.
Par ailleurs, il a suffit de peu de jours pour que le ministre de la communication, entre-outre Hamid Grine, suive le chemin de ses collègues du gouvernement, pour ouvrir un compte, cette fois-ci, sur Twitter. Sauf que l'efficacité n'est pour le moment pas approuvée, puisque leurs pages sont désertées par les internautes, pour le simple fait qu'elle n'aient contenus pour le moment aucune communication.
Cependant, une intrigue qui convient d'être partagée nous vient à l'esprit : Cette dynamique d'investissement vaudrait-elle dire que le gouvernement veut s'adapter avec les enjeux des nouvelles technologies ? Ou ne serait-ce qu'un semblant d'enthousiasme nourrit de démagogie et de manque de bonne foi que sont en train de nous livrer nos ministres ?