Youssouf Chahed, un ingénieur en agronomie, âgé de 40 ans, vient d'être nommé Premier Ministre du gouvernement tunisien.
Cette nomination vient chapeauter les attentes de la Tunisie. En effet, Youssouf Chahed aura pour charge d'assurer le travail collégiale des forces politiques tunisiennes, comme principe issu de la Révolution du Jasmine, et, par ceci, de garantir la bonne gouvernance du gouvernement d'union nationale.
Selon France 24, le jeune âge de cet ancien ministre des Collectivités Locales "passe bien auprès des Tunisiens qui ont l’impression, notamment depuis la révolution, que l’élite politique âgée ne représente pas la jeunesse". Et ce, au critère opposé du Président de la République qui se rapproche de ses 90 ans, en l'occurrence Béji Caid Essebsi.
De ce fait, les tunisiens donnent, pour le moins, l'impression d'avoir comprit qu'il est totalement incommode de s'emparer de la conduite d'un pays, tout en dépassant un âge plus approprié à une haute fonction de l'Etat, en grillant l'élite juvénile, pour le simple fait qu'une personne, quelque soit ses compétences, ne pourra comprendre ni accompagner la jeunesse de son pays.
Dans les pays, néanmoins nord-africains, qui sont en voie de développement, rêver d'un poste de président en étant un vieux décrépit est un rêve sacré qui tue l'espoir de plusieurs générations. Pourtant, les exemples d'un tel cas n'en manquent pas...
Cette nomination vient chapeauter les attentes de la Tunisie. En effet, Youssouf Chahed aura pour charge d'assurer le travail collégiale des forces politiques tunisiennes, comme principe issu de la Révolution du Jasmine, et, par ceci, de garantir la bonne gouvernance du gouvernement d'union nationale.
Selon France 24, le jeune âge de cet ancien ministre des Collectivités Locales "passe bien auprès des Tunisiens qui ont l’impression, notamment depuis la révolution, que l’élite politique âgée ne représente pas la jeunesse". Et ce, au critère opposé du Président de la République qui se rapproche de ses 90 ans, en l'occurrence Béji Caid Essebsi.
De ce fait, les tunisiens donnent, pour le moins, l'impression d'avoir comprit qu'il est totalement incommode de s'emparer de la conduite d'un pays, tout en dépassant un âge plus approprié à une haute fonction de l'Etat, en grillant l'élite juvénile, pour le simple fait qu'une personne, quelque soit ses compétences, ne pourra comprendre ni accompagner la jeunesse de son pays.
Dans les pays, néanmoins nord-africains, qui sont en voie de développement, rêver d'un poste de président en étant un vieux décrépit est un rêve sacré qui tue l'espoir de plusieurs générations. Pourtant, les exemples d'un tel cas n'en manquent pas...