Dans les rues d'Alger, une jeune femme qui voudrait faire parvenir son message à travers les murs d'Alger réussit à créer la polémique sur la toile algérienne.
En effet, munie d'un pot de peinture noire et d'un pinceau, elle part à l'assaut de l'intention des algérois, et laisse sa trace partout sur les murs des espaces publiques algérois. Et pas n'importe quelle trace. Selon des images s'étant propagées sur le réseau social le plus populaire, Facebook en l'occurrence, cette femme dessine le logo du mot "Femme" en langue arabe partout où elle va, sous les yeux intrigués des passagers, accueillant par certains, et frustrés par d'autres, du moment que la nature du message ne parvient qu'en partialité, puisque aucune explication n'est rajoutée par l'initiatrice, ni par les internautes qui ont partagé lesdites images, ceux-ci, quant à eux, se laissant interpréter d'une manière subjective, depuis plusieurs angles, ce que rapportent les images en question.
Pour certains ayant essayé de percer le message de cette jeune femme, ce serait une nouvelle -bonne- méthode de communiquer aux gens sur la nécessité d'accepter la femme au sein de la société, malgré la difficulté que reçoivent-elles dans leur intégration à cause, sans le cacher, de la frustration et de la misogynie inavouée de notre société patriarcale. En principe, la femme doit "sortir de la cuisine, et vivre dans la profonde société, en toute loyauté parmi le monde des hommes" commenta un internaute. C'est, quelque part l'idéal pour les défenseurs des droits humains et de la femme en particulier dans des sociétés qui considèrent encore la femme comme citoyenne au 2ème degré. Mais justement, cette initiative de dessiner le logo du mot "femme" conforte la raison de ses défenseurs, mais ne fait qu'irriter ceux qui ont toujours des problèmes d'adaptation avec le concept du 21 ème siècle, qui consiste à offrir l'égalité aux deux sexes sous l'égide de la citoyenneté toutefois garantie par l'Etat. En effet, ladite initiative n'a pas fait que soulever des soutiens, mais à fait réveiller les conservateurs de leur long sommeil. On aperçoit même sur l'une des images un homme, trahi par les traits de son visage, qui en dit long sur sa frustration inavouée. Cela s'est exprimé même sur les commentaires de certains internautes, défendant le conservatisme religieux et social, sur la toile, supposant ainsi que l'initiative ne valait même pas d'être créée, puisque "la religion a garanti (théoriquement, ndlr)à la femme ses droits et sa liberté" se laisse dire un internaute croyant que la bulle religieuse dans laquelle est enfermée notre société garantit à la femme de bénéficier de tous ses droits en tant qu'être humain, étant une matrice prépondérante dans la formation de l'être social et de l'être commun. Mais ces concepts-ci sans aujourd'hui négligés, à voir même effacés, du dictionnaire des éternels défenseurs du politiquement et socialement corrects. La femme est le parfait bouc émissaire pour ces conservateurs. La preuve, un internaute gâté par l'idéal du paradis trompeur promit par les danseurs de cordes du 14ème siècle ne s'est pas dérangé à juger que "cette initiative n'est rien de plus qu'une pollution pour nos murs", mais remis toutefois à sa place par une féministe, en lui disant que "il n'y a que la présence du mot femme pour indexer la pollution, alors que tous les déchets présents dans nos rues ne vous a jamais poussé à bouger le petit doigt... commencez donc par nettoyer votre pollution intérieure, et venez ensuite nous donner des leçons en écologie sociale... et religieuse !", lui commenta-t-elle, ou quand la probité est entre de bonnes mains !
Il est grand temps de remettre les pendules à l'heure et de réviser nos définitions, en commençant d'abord par décomplexer l'être social qui est en nous, de se poser en force, mais plus en intrigue, en face du conservatisme, et de bercer toute personne, s'étant complexée par les valeurs humaines utiles, par ces mêmes valeurs. Et ce, en allant déconstruire la valeur de l'amour du prochain prônée par les rengaines religieuses révolues, et d'aimer même son plus lointain, et de redéfinir nos conceptions par soi-même, ensuite en démunissant la force de l'establishment religieux dont le seul intérêt qui l'importe est de promouvoir le traditionalisme rétrograde par la voie de l'éducation formaliste dans la société sous prétexte de ne pas toucher à la religiosité de la communauté, qui représente l'une des constantes nationales indéniable, ainsi que de tout être ne servant pas à avancer, mais servant par contre qu'à faire reculer... la famille qui avance. Et il en va de même pour ces démocrates non-pratiquants ! Alors en avant !
A vous d'en juger :
En effet, munie d'un pot de peinture noire et d'un pinceau, elle part à l'assaut de l'intention des algérois, et laisse sa trace partout sur les murs des espaces publiques algérois. Et pas n'importe quelle trace. Selon des images s'étant propagées sur le réseau social le plus populaire, Facebook en l'occurrence, cette femme dessine le logo du mot "Femme" en langue arabe partout où elle va, sous les yeux intrigués des passagers, accueillant par certains, et frustrés par d'autres, du moment que la nature du message ne parvient qu'en partialité, puisque aucune explication n'est rajoutée par l'initiatrice, ni par les internautes qui ont partagé lesdites images, ceux-ci, quant à eux, se laissant interpréter d'une manière subjective, depuis plusieurs angles, ce que rapportent les images en question.
Pour certains ayant essayé de percer le message de cette jeune femme, ce serait une nouvelle -bonne- méthode de communiquer aux gens sur la nécessité d'accepter la femme au sein de la société, malgré la difficulté que reçoivent-elles dans leur intégration à cause, sans le cacher, de la frustration et de la misogynie inavouée de notre société patriarcale. En principe, la femme doit "sortir de la cuisine, et vivre dans la profonde société, en toute loyauté parmi le monde des hommes" commenta un internaute. C'est, quelque part l'idéal pour les défenseurs des droits humains et de la femme en particulier dans des sociétés qui considèrent encore la femme comme citoyenne au 2ème degré. Mais justement, cette initiative de dessiner le logo du mot "femme" conforte la raison de ses défenseurs, mais ne fait qu'irriter ceux qui ont toujours des problèmes d'adaptation avec le concept du 21 ème siècle, qui consiste à offrir l'égalité aux deux sexes sous l'égide de la citoyenneté toutefois garantie par l'Etat. En effet, ladite initiative n'a pas fait que soulever des soutiens, mais à fait réveiller les conservateurs de leur long sommeil. On aperçoit même sur l'une des images un homme, trahi par les traits de son visage, qui en dit long sur sa frustration inavouée. Cela s'est exprimé même sur les commentaires de certains internautes, défendant le conservatisme religieux et social, sur la toile, supposant ainsi que l'initiative ne valait même pas d'être créée, puisque "la religion a garanti (théoriquement, ndlr)à la femme ses droits et sa liberté" se laisse dire un internaute croyant que la bulle religieuse dans laquelle est enfermée notre société garantit à la femme de bénéficier de tous ses droits en tant qu'être humain, étant une matrice prépondérante dans la formation de l'être social et de l'être commun. Mais ces concepts-ci sans aujourd'hui négligés, à voir même effacés, du dictionnaire des éternels défenseurs du politiquement et socialement corrects. La femme est le parfait bouc émissaire pour ces conservateurs. La preuve, un internaute gâté par l'idéal du paradis trompeur promit par les danseurs de cordes du 14ème siècle ne s'est pas dérangé à juger que "cette initiative n'est rien de plus qu'une pollution pour nos murs", mais remis toutefois à sa place par une féministe, en lui disant que "il n'y a que la présence du mot femme pour indexer la pollution, alors que tous les déchets présents dans nos rues ne vous a jamais poussé à bouger le petit doigt... commencez donc par nettoyer votre pollution intérieure, et venez ensuite nous donner des leçons en écologie sociale... et religieuse !", lui commenta-t-elle, ou quand la probité est entre de bonnes mains !
Il est grand temps de remettre les pendules à l'heure et de réviser nos définitions, en commençant d'abord par décomplexer l'être social qui est en nous, de se poser en force, mais plus en intrigue, en face du conservatisme, et de bercer toute personne, s'étant complexée par les valeurs humaines utiles, par ces mêmes valeurs. Et ce, en allant déconstruire la valeur de l'amour du prochain prônée par les rengaines religieuses révolues, et d'aimer même son plus lointain, et de redéfinir nos conceptions par soi-même, ensuite en démunissant la force de l'establishment religieux dont le seul intérêt qui l'importe est de promouvoir le traditionalisme rétrograde par la voie de l'éducation formaliste dans la société sous prétexte de ne pas toucher à la religiosité de la communauté, qui représente l'une des constantes nationales indéniable, ainsi que de tout être ne servant pas à avancer, mais servant par contre qu'à faire reculer... la famille qui avance. Et il en va de même pour ces démocrates non-pratiquants ! Alors en avant !
A vous d'en juger :
Crédit photo : Coup d'oeil