Ayant demandé à l'Etat de lui fournir une bourse d'études pour poursuivre ses études à l'étranger dans le domaine de la Biomécanique, Kenza Oussalah se trouve dans la confusion, puisque le gouvernement intervient d'une façon indirecte en rappelant la loi des offres de bourses par l'Etat algérien, d'une part, ainsi que le non-fondement de la rumeur spéculant que la meilleure bachelière depuis l'indépendance algérienne a reçu des aides de la diaspora algérienne au Canada.
Une rumeur qui est d'ailleurs démentie par la famille de la lauréate. Par ricochet, la sortie de Tahar Hedjar, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, lui a donné l'occasion de se prononcer sur le cas de Kenza Oussalah, soutenu par un large mouvement des internautes algériens. Selon TSA, le ministre a soutenu que « Cette spécialité (biomécanique, ndlr) existe en Algérie. Chaque étudiant a le droit de rêver à une bourse, mais il y a une règle générale applicable pour tout le monde. Depuis quelques années, il n’y a plus de bourses pour le premier cycle ». Prenant cela pour une sorte de remise à l'ordre, le ministre, interpellé par ce cas, insiste sur la position du gouvernement, et précise que « ce n’est qu’à partir du deuxième cycle que les meilleurs étudiants peuvent aspirer à une bourse à l’étranger ».
Sur un autre sillage, et par la voie des réseaux sociaux, des internautes ayant soutenue la jeune bachelière qui a décroché son sacre avec une moyenne de 19,71/20 sont irrités par le fait que des enfants de responsables, ou proches des casés du cercle de l'Etat, bénéficient à l'étranger des bourses de l'Etat sans être inquiétés. La mythique mesure qui fait encore fuir des cerveaux du pays est toujours perpétuée, notamment la politique des deux poids deux mesures n'est toujours pas dépassée. Ce cas rappelle à quoi servirait la loi, et son rôle régulateur pour lequel est-elle fixée, notamment pour être appliquée sur tout le monde.
Une rumeur qui est d'ailleurs démentie par la famille de la lauréate. Par ricochet, la sortie de Tahar Hedjar, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, lui a donné l'occasion de se prononcer sur le cas de Kenza Oussalah, soutenu par un large mouvement des internautes algériens. Selon TSA, le ministre a soutenu que « Cette spécialité (biomécanique, ndlr) existe en Algérie. Chaque étudiant a le droit de rêver à une bourse, mais il y a une règle générale applicable pour tout le monde. Depuis quelques années, il n’y a plus de bourses pour le premier cycle ». Prenant cela pour une sorte de remise à l'ordre, le ministre, interpellé par ce cas, insiste sur la position du gouvernement, et précise que « ce n’est qu’à partir du deuxième cycle que les meilleurs étudiants peuvent aspirer à une bourse à l’étranger ».
Sur un autre sillage, et par la voie des réseaux sociaux, des internautes ayant soutenue la jeune bachelière qui a décroché son sacre avec une moyenne de 19,71/20 sont irrités par le fait que des enfants de responsables, ou proches des casés du cercle de l'Etat, bénéficient à l'étranger des bourses de l'Etat sans être inquiétés. La mythique mesure qui fait encore fuir des cerveaux du pays est toujours perpétuée, notamment la politique des deux poids deux mesures n'est toujours pas dépassée. Ce cas rappelle à quoi servirait la loi, et son rôle régulateur pour lequel est-elle fixée, notamment pour être appliquée sur tout le monde.