Voici une histoire qui nous en dit très long sur la principale raison derrière la fuite des cerveaux algériens , parias dans leur pays, héros à l'étranger.
Il s'appelle Farid Boumahdaf , est âgé de 52 ans et est devenu une célébrité au Qatar car il est celui qui a conçu en 2013 l'aéroport international de Doha , l'un des plus beaux du monde et qui avait coûté 15 milliards de dollars.
Mais pour cet architecte originaire d'Annaba , les affaire n'ont pas toujours été aussi brillantes; il est contraint de quitter l'Algérie à l'âge de 20 ans pour aller continuer ses études en France après avoir été exclu de son lycée d'Annaba car il avait osé témoigner contre un professeur qui maltraitait ses élèves.En France, Farid obtient un diplôme en architecture spatiale avant de connaître l'ascension fulgurante qui l'a conduit jusqu'au Qatar où il a réalisé l'un des plus beaux aéroports du monde. "J’ai été choisi parce que je parle les trois langues : arabe, français et anglais. J’ai rencontré deux fois l’émir, le Premier ministre, la famille royale. Le fait d’être algérien était un plus pour moi, dans le sens où ils ne se comportaient pas de la même manière avec moi qu’avec les autres. La facilité du dialogue a renforcé un peu les liens " déclarait Farid en 2013.
Cet architecte s'est alors vu confier la pleine responsabilité du projet par le chef d'État qatari ."Le client m’a donné tout les pouvoirs sur le projet. C'est-à-dire que personne ne peut prendre une décision sans me consulter. C’est moi qui prends toutes les décisions. Et quand le client n’était pas satisfait, je faisais des présentations et on discutait ensemble sur les choses à améliorer. Je proposais. J’apportais des réponses à chacune de leurs interrogations, et c’est pour ça qu’ils sont très contents aujourd’hui" avait-il encore confié à l'époque.
Farid Boumahdaf , l'enfant d'Annaba , est ainsi considéré comme un héros au Qatar alors que son pays l'a méprisé et l'a contraint à s'exiler tel un malfrat . Ce génie fait aujourd'hui le bonheur des pays étrangers au moment où cette même Algérie qui l'a contraint à fuir importe de la main-d'oeuvre étrangère pour la réalisation d'un simple pont ou de quelques dizaines de logements.
Il s'appelle Farid Boumahdaf , est âgé de 52 ans et est devenu une célébrité au Qatar car il est celui qui a conçu en 2013 l'aéroport international de Doha , l'un des plus beaux du monde et qui avait coûté 15 milliards de dollars.
Mais pour cet architecte originaire d'Annaba , les affaire n'ont pas toujours été aussi brillantes; il est contraint de quitter l'Algérie à l'âge de 20 ans pour aller continuer ses études en France après avoir été exclu de son lycée d'Annaba car il avait osé témoigner contre un professeur qui maltraitait ses élèves.En France, Farid obtient un diplôme en architecture spatiale avant de connaître l'ascension fulgurante qui l'a conduit jusqu'au Qatar où il a réalisé l'un des plus beaux aéroports du monde. "J’ai été choisi parce que je parle les trois langues : arabe, français et anglais. J’ai rencontré deux fois l’émir, le Premier ministre, la famille royale. Le fait d’être algérien était un plus pour moi, dans le sens où ils ne se comportaient pas de la même manière avec moi qu’avec les autres. La facilité du dialogue a renforcé un peu les liens " déclarait Farid en 2013.
Cet architecte s'est alors vu confier la pleine responsabilité du projet par le chef d'État qatari ."Le client m’a donné tout les pouvoirs sur le projet. C'est-à-dire que personne ne peut prendre une décision sans me consulter. C’est moi qui prends toutes les décisions. Et quand le client n’était pas satisfait, je faisais des présentations et on discutait ensemble sur les choses à améliorer. Je proposais. J’apportais des réponses à chacune de leurs interrogations, et c’est pour ça qu’ils sont très contents aujourd’hui" avait-il encore confié à l'époque.
Farid Boumahdaf , l'enfant d'Annaba , est ainsi considéré comme un héros au Qatar alors que son pays l'a méprisé et l'a contraint à s'exiler tel un malfrat . Ce génie fait aujourd'hui le bonheur des pays étrangers au moment où cette même Algérie qui l'a contraint à fuir importe de la main-d'oeuvre étrangère pour la réalisation d'un simple pont ou de quelques dizaines de logements.