La violence devient vertu, lorsque la raison est blêmie par l'ignorance. C'est dans l'enceinte de l'Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou (UMMTO), qu'une ultime atteinte aux principes d'un étudiant est commise. A l'ombre des problèmes que subit cette université ces temps-ci, voilà un obstacle lourd, à son sens large, que rencontrent toutefois ces étudiant(e)s : Les agressions verbales et physiques commises même par des organismes chargés à veiller à la sécurité de l'Université. Cela peut paraître ironique, mais c'est le cas, tant que cette violence de toute nature, ne date pas d'aujourd'hui et n'est pas dépassée. Il y a des ces jours où des universitaires se demandent si c'est bien dans un établissement public, servant à étudier et former l'élite et des cadres d'Etat, dans lequel ils se trouvent.
En effet, Younes A.S, un étudiant en Master art et littérature à l'UMMTO, vient d'être malmené par un agent de sécurité dans l'enceinte de la résidence universitaire de Hesnaoua. Le problème a commencé le jour où le restaurant de ladite résidence eut fermé bien avant l'horaire fixée par la réglementation, par des agents de sécurité. Pis encore, ça représente un fait qui s'est répété depuis des lustres, cachant parfois de douteuses affaires organisées par des parties du personnel. Ensuite, l'étudiant ayant réclamé le respect de la réglementation s'est vu brutalisé par cet agent devant répondre aux fonctions de sécurisation et l'a menacé de représailles en sortant de l'Université, même si "des étudiants sont arrivés après qu'un autre agent vienne nous calmer" nous témoigna Younes.
C'est alors à ce moment que le même étudiant, étant épaulé de témoins, a décidé de déposer un rapport auprès des autorités concernées, signalant le dépassement commit par cet agent, et exiger le rétablissement de l'ordre, et l'application sérieuse de la loi, et ce malgré qu'un autre agent eut essayé de le convaincre de revenir en arrière, et de ne pas déposer ce rapport. Soutenu par le comité de sa résidence, Younes nous a confié que le soutien progresse, ainsi que la protestation, sur fond de dénonciation, se verra cependant confortée par une action sur le terrain. "Nous allons fermer le portail de la résidence Hesnaoua, ce soir" ajoute-t-il, pour réclamer l'écartement de l'agent. Des actions pareilles ont été déjà suivies par l'écartement des gens moteurs de la violence à l'Université et contempteurs du bon fonctionnement des choses, et ce lorsque la raison règne.
En effet, Younes A.S, un étudiant en Master art et littérature à l'UMMTO, vient d'être malmené par un agent de sécurité dans l'enceinte de la résidence universitaire de Hesnaoua. Le problème a commencé le jour où le restaurant de ladite résidence eut fermé bien avant l'horaire fixée par la réglementation, par des agents de sécurité. Pis encore, ça représente un fait qui s'est répété depuis des lustres, cachant parfois de douteuses affaires organisées par des parties du personnel. Ensuite, l'étudiant ayant réclamé le respect de la réglementation s'est vu brutalisé par cet agent devant répondre aux fonctions de sécurisation et l'a menacé de représailles en sortant de l'Université, même si "des étudiants sont arrivés après qu'un autre agent vienne nous calmer" nous témoigna Younes.
C'est alors à ce moment que le même étudiant, étant épaulé de témoins, a décidé de déposer un rapport auprès des autorités concernées, signalant le dépassement commit par cet agent, et exiger le rétablissement de l'ordre, et l'application sérieuse de la loi, et ce malgré qu'un autre agent eut essayé de le convaincre de revenir en arrière, et de ne pas déposer ce rapport. Soutenu par le comité de sa résidence, Younes nous a confié que le soutien progresse, ainsi que la protestation, sur fond de dénonciation, se verra cependant confortée par une action sur le terrain. "Nous allons fermer le portail de la résidence Hesnaoua, ce soir" ajoute-t-il, pour réclamer l'écartement de l'agent. Des actions pareilles ont été déjà suivies par l'écartement des gens moteurs de la violence à l'Université et contempteurs du bon fonctionnement des choses, et ce lorsque la raison règne.